Dans la lignée de son engagement pour une mode plus responsable, Kering annonce les quatre finalistes du Kering Generation Award X Jewelry, initiative inédite imaginée en partenariat avec la CIBJO (World Jewellery Confederation) et Poli.Design – Politecnico di Milano, pour promouvoir la durabilité et l’innovation dans la joaillerie contemporaine.
Pour cette édition inaugurale, les participants – étudiants et startups – ont été invités à créer une pièce ou collection sur le thème « Second Chance, First Choice », réinventant les déchets comme matière première de désir. Après des présentations devant un jury international, quatre projets finalistes ont été retenus. Ils seront présentés lors du salon JCK Las Vegas le 7 juin 2025, l’un des plus grands rendez-vous professionnels du secteur.

Les finalistes 2025 du Kering Generation Award X Jewelry :
- Ex Oblivione (France, catégorie startup)
Fusionnant technologie spatiale et joaillerie, la marque transforme des éléments désaffectés issus de missions spatiales (tels que des protections de satellites) en bijoux d’art haut de gamme. - Ianyan (Chine, catégorie startup)
Elle met en lumière des pierres jugées imparfaites comme les opales fracturées, leur redonnant valeur à travers un design circulaire et modulable, où chaque pièce peut être réparée ou recomposée. - Lee Min Seo (Corée du Sud, catégorie étudiant)
Issue de l’université Hongik, sa collection Rhythm Reborn réutilise le cuir de tambours traditionnels coréens (jang-gu) pour préserver et faire résonner le patrimoine musical national sous une forme joaillière contemporaine. - Tony Favorito (États-Unis, catégorie étudiant)
Avec Memory Fragment, l’étudiant du Rochester Institute of Technology transforme des fragments de pierres issus de travaux de rénovation domestique en bagues modulables, instaurant un lien émotionnel entre matière et mémoire.
Avec le soutien actif des maisons joaillières de Kering – Boucheron, Pomellato, DoDo et Qeelin, ce prix s’inscrit dans une volonté affirmée de réenchanter l’objet précieux par le biais de l’éthique, de l’innovation et de la circularité.