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Salon 2012, le sourire

by pascal iakovou
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Salon 2012, Salon sourire, smile, sonrisa, sorriso. Universel sourire, quoi de plus lumineux qu’un sourire ? Quel cadeau est plus généreux qu’un sourire ? Éblouissement des sourires autour d’une bouteille de Salon 2012, sourire de l’attente du plaisir partagé, parce que tout Salon 2012 est sourire et plaisir. Sa transparence, ses arômes, ses saveurs, sa fraîcheur, ses bulles subtiles éveillent des sensations vives, comme une flamme qui s’élève, joue, s’étire, s’allonge, et se développe en chaleur.

Un verre de Salon 2012, comme « un petit pan de mur jaune » dans un tableau de Vermeer.

Sublime, le comble de l’art.

C’est le secret Salon, l’éternel charme Salon qui s’expriment chez Salon 2012 avec l’énergie qu’apportent sa minéralité sérieuse, sa pureté, la générosité de sa longueur en bouche, cette droiture qui provoque un sourire franc. Le sol du premier des Blancs de blancs qui ait été imaginé est tout ici, le soleil et l’eau, l’air, la vigne, l’intuition et le savoir humain sont ici. Dans Salon 2012.

L’expérience du grandiose fait surgir le sourire, comme une main tendue, comme une caresse.

Salon 2012 est généreux de sa toute beauté, unique et universel.

Salon est un, répétons-le : un seul cépage, le chardonnay, un seul terroir, la Côte des Blancs, un seul cru, Le Mesnil-sur-Oger, une seule année, celle de son millésime. Chaque millésime – toute année n’est pas un millésime, seules les plus grandes années le sont –, est différent des autres. Et cette unique perfection a été le rêve accompli du créateur de Champagne Salon, Aimé Salon, il y a bien plus d’un siècle. Salon 2012 tient toutes les promesses. Le respect de la nature et du geste exact, savant, la terre offerte et conservée dans sa plus belle expression, et le savoir-faire humain, trésors inestimables rassemblés dans une action commune, travail concerté pour obtenir de la vigne ce chef-d’oeuvre, Salon 2012. Après la vendange, c’est dans l’ombre des mêmes chais depuis plus de cent années que le miracle s’accomplit, la grande éducation occulte du vin, alliée à la magie et au caractère inné, jusqu’à l’ouverture d’un Salon 2012. Mais dehors, pourtant, l’année était en colère.

Salon 2012, année batailleuse, victoire du vin

Au début, l’hiver 2012 joue les timides, c’est en février qu’il frappe fort, des moins 10, des moins 20, le gel ! Mais mars le calme, tout doux, les bourgeons frémissent et voilà qu’il pleut beaucoup en avril, avec des nuits claires, donc froides, le gel ! Et encore la pluie, jusqu’en juillet, trop de pluie, la vigne n’aime pas trop. Coup de froid sur la floraison, le soleil n’est pas au rendez-vous. La vigne est triste.

Mais août arrive enfin, le mois des chaleurs en fait un peu trop au début, caniculaire. Le raisin en voit de toutes les couleurs, trop mouillé, puis trop sec, l’abondance n’est pas au rendez-vous, qu’en adviendra-t-il après la vendange ? Elle commence au Mesnil le 17 septembre. La nature a de ses tours et, dans les cuves, c’est une merveille qui se révèle, un grand vin qui s’apprête, sourire en coin, avec un « je vous ai bien eus » ! Tout est là, les sucres, la belle acidité, un potentiel magnifique, il n’y a plus qu’à attendre. Et les vignerons, voilà qui les fait sourire

Salon 2012, les nuances d’un sourire

Le désir d’une perfection développée dans les infinies facettes du diamant jonquille, les délicates surprises d’une dégustation ébouriffante : l’or clair du vin dans la lumière, la subtilité du rayon vert qui transparaît toujours et annonce, au nez, le minéral, oui, les cailloux, ce crayeux, si caractéristiques de Salon, avec les notes fruitées, et des roses séchées à foison, la longueur en bouche n’en finit pas, une fraîcheur, du corps, longiligne, avec cette acidité franche et noble, avant-garde d’un vieillissement glorieux pour des décennies, fondé sur l’impeccable structure. Salon 2012, une fois aéré, déchaîne en bouche ses notes séductrices, d’ananas, de litchis, une touche de fumé, autant de caresses, de sourire intérieur, charmeur, mystérieux, celui d’une Mona Lisa qui ne dit pas tous ses secrets. Alliance de contraires vainqueurs ensemble, une douce guerre amoureuse. L’amour de Salon 2012. Pour ceux qui savent, les connaisseurs d’aujourd’hui et de demain. Savourer l’éclat d’un sourire, comme une flamme, prise au vol !

Généreux et universel, Salon 2012 accueille les saveurs subtiles des mets

La pureté extrême va bien à sa minéralité franche, on songera à un tartare de langoustines, des coquilles Saint-Jacques marinées au kombu, au caviar impérial Daurenki. Toujours de la mer, un turbot rôti au miso, sauce hollandaise, et de la terre, un filet de veau de lait de Corrèze avec des asperges blanches et des morilles.

Ce ne sont là que des suggestions, on aimerait aller très loin avec Salon 2012, et sourire, rêver, aimer.

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