Un vert strié comme une forêt de soie, un bleu que la Méditerranée convoiterait : Korloff insuffle la pulsation chromatique de la malachite et de la turquoise dans Je Play, collection-terrain de jeu où la géométrie devient geste identitaire.
Une grammaire de formes libres, taillée pour l’allure asymétrique
Cercles et carrés dialoguent sans hiérarchie ; les volumes s’assemblent, se désassemblent, se superposent. Les singles earrings — vendues à l’unité — revendiquent l’oreille dépareillée, clin d’œil à celles et ceux qui préfèrent la dissonance chic à l’harmonie convenue. Joncs et bagues Toi & Moi s’accumulent en arabesques chromatiques, dans un jeu de textures polies ou satinées qui réinvente la notion de stack.
Malachite et turquoise : un duo minéral hautement instagrammable
Enracinée dans la joaillerie Art déco, la malachite déploie ses veines hypnotiques ; la turquoise, pierre solaire par excellence, apporte une clarté pop. Korloff les associe à l’or poli comme à l’or brossé, créant des pièces où la pierre n’orne pas l’objet : elle le commande, impose son rythme, déclenche la narration chromatique.









































































































La souplesse du port, la rigueur de la maison
Je Play cultive une joaillerie caméléon : chaque création peut se porter seule pour un minimalisme affirmé ou se combiner en silhouettes plus théâtrales. Le résultat témoigne de l’ADN Korloff : la liberté stylistique comme luxe ultime. Un héritage né en 1978 autour de l’emblématique diamant noir de 88 carats, le « Black Korloff », pierre-totem devenue symbole de chance et d’audace pour son fondateur Daniel Paillasseur.
Vers un été de bijoux-statements
Dans un marché saturé de propositions lisses, Je Play s’offre comme un alphabet joaillier où chacune compose sa phrase. Une philosophie de la couleur assumée, de la modularité réjouissante, fidèle à l’esprit de la maison lyonnaise : transformer chaque éclat en territoire d’expression.

