Home Horlogerie et JoailleriePoiray bat la chamade : le bracelet « Cœur Entrelacé » s’engage pour la santé cardio-vasculaire des Françaises

Poiray bat la chamade : le bracelet « Cœur Entrelacé » s’engage pour la santé cardio-vasculaire des Françaises

by pascal iakovou
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Derrière les vitrines lambrissées de la place Vendôme, la joaillerie bat un pouls inédit : chaque achat du bracelet « Cœur Entrelacé » devient un geste de prévention cardio-vasculaire.

Fondée en 1975 par François Hérail et Michel Ermelin, Poiray s’est imposée comme la maison de l’audace féminine, jouant l’Art déco en couleurs franches et volumes rebelles. Aujourd’hui, cette audace se double d’un activisme sanitaire : 20 % du prix de vente (190 €) de la version argent montée sur cordon macramé rose, rouge ou corail — clin d’œil chromatique au logo dessiné à partir du bijou — iront soutenir la Fondation Agir Pour le Cœur des Femmes tout le mois de septembre, dans l’ensemble des boutiques Poiray de Paris, Lyon, Toulouse, Bordeaux, ainsi que sur poiray.com.

L’urgence est tangible : première cause de mortalité chez les femmes, les maladies cardio-vasculaires emportent 200 vies chaque jour en France. Pour casser ce plafond pourtant évitable, le Bus du Cœur — maison médicale mobile rose bonbon — sillonne huit villes de septembre à novembre afin d’offrir dépistages gratuits et réintégration dans des parcours de soin adaptés. Chaque étape voit se relayer cardiologues, gynécologues et infirmières, un modèle déjà salué par la communauté médicale pour ses résultats probants : en 2024, 90 % des 300 femmes testées à Béthune présentaient au moins deux facteurs de risque dépistés in situ.

En mettant son icône entrelacée au service de cette cause, Poiray célèbre l’ADN même du bijou : un talisman porteur de sens plutôt qu’un simple éclat. Le choix d’un argent rhodié accessible (190 €) — quand la maison excelle habituellement dans l’or rose ou les pierres fines — traduit cette volonté d’inclusion sans renoncer au geste couture : chaque cordelette est nouée main, chaque médaille polie miroir dans l’atelier historique parisien, preuve que la maîtrise artisanale peut rimer avec engagement citoyen.

Pour Claire Mounier-Véhier, cofondatrice de la Fondation, « faire descendre la prévention dans la rue, c’est déjà sauver des vies ». La maison joaillière, elle, y voit un prolongement naturel de son dialogue avec les femmes : après les collections personnalisables « Ma Première » ou « Tresse », ce nouveau chapitre place l’émotion joaillière au diapason d’un enjeu sociétal global.

À l’heure où le luxe se doit d’incarner plus que du désir, Poiray conjugue patrimoine vendômois et solidarité médicale dans un même battement. Un écho précieux qui résonnera, bracelet au poignet, bien au-delà des vitrines parisiennes.

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