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Messika « Cinematic Summer » : l’or solaire et les diamants se posent à Majorque

by pascal iakovou
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Coup de projecteur sur une crique baignée de lumière méditerranéenne : la Maison Messika ouvre la saison avec « Cinematic Summer », un huis-clos solaire capté à Majorque par Juliette Abitbol et orchestré par le directeur de création Ezra Petronio. Les héroïnes, Annemary Aderibigbe et Summer Dirx, dévoilent des peaux à la chaleur dorée où l’or et le diamant dialoguent à même l’épiderme, évoquant la douceur d’un film d’Éric Rohmer et la langueur sensuelle d’un opus de Jean Becker .

Abitbol, révélée par la scène mode parisienne, opte pour un regard frontal et des jeux d’ombres naturels qui exaltent chaque facette du Move, motif signature de la Maison ; un parti pris “sans artifice” qui magnifie l’éclat brut de la pierre . La palette chromatique – azur infini, sable incandescent – souligne une mise en scène presque contemplative, où le décor se fait écrin et non décor de carte postale.

Au cœur du récit visuel, So Move déploie ses maillons d’or et de diamants en version architecture souple ; Fiery sublime l’ambivalence d’un diamant poire qui oscille entre délicatesse et force sculpturale ; Move Noa revient dans une déclinaison ciselée, hommage aux velours de soie 70’s réalisés à la main, chaque strie captant le soleil comme un flash cinéma . La ligne s’inscrit dans le sillage du vingtième anniversaire du Move, icône best-seller qui compte désormais plus de dix collections à son actif.

Messika profite de l’été pour introduire Move Ciselé, évolution texturée célébrée le mois dernier ; le gold devient matière première, sculpté au diamant pour offrir une expérience tactile inédite. Cette déclinaison conforte la philosophie de Valérie Messika : “instinctive, lumineuse, ancrée dans le présent”, comme elle le rappelle elle-même dans le communiqué .

Le résultat ? Une campagne à l’élégance à la fois solaire et cinématographique qui repositionne la joaillerie comme vêtement ultime : ici, “c’est le bijou qui habille la peau” – mantra qui résonne tout particulièrement auprès d’une génération en quête de sensualité naturelle et de narrations authentiques. Les pièces seront disponibles dès mai 2025 dans les flagships parisiens de la rue Saint-Honoré et du 259 rue Saint-Honoré ainsi que sur messika.com, tandis que des pop-ups itinérants – de Capri à Saint-Tropez – prolongeront la parenthèse hédoniste tout l’été.

Par cette partition lumineuse, Messika confirme son statut de disruptor de la haute joaillerie française : un pied dans le grand cinéma d’auteur, l’autre dans la culture pop digitale, et l’éclat d’un diamant qui, décidément, n’en finit pas de se réinventer.

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