Cannes, 14 mai 2025. Pour la grande ouverture du 78e Festival de Cannes, Dior s’est imposée comme l’une des maisons les plus représentées et les plus remarquées sur le tapis rouge. À travers ses lignes Haute Couture, Dior Men et son univers maquillage orchestré par Peter Philips, la maison parisienne a offert une vision totale de l’élégance contemporaine, entre tradition et audace.
L’élan couture de Maria Grazia Chiuri
Natalie Portman, égérie emblématique, a illuminé la Croisette dans une réinterprétation éthérée de la robe Miss Dior 1949, entièrement rebrodée de sequins argentés dégradés, véritable hommage au patrimoine haute couture de la maison. Yara Shahidi, elle, a opté pour une silhouette sculpturale en crêpe ivoire à drapé asymétrique, sublimant sa prestance moderne.
Dilraba Dilmurat, star chinoise au rayonnement international, portait une création sur-mesure à bustier corseté en tulle de soie brodé, mariant transparence et raffinement floral. Quant à Jingyi Zhang, elle a séduit dans un modèle pastel drapé en mousseline de soie, rehaussé de cristaux appliqués à la main.
Le tailoring Dior Men revisité
Du côté masculin, Wang Jingchun et Jared Leto ont tous deux opté pour des costumes Dior Men signés Kim Jones, conjuguant coupes affûtées et détails couture. Le premier arborait un ensemble noir à revers satinés ultra-classique, tandis que le second, plus flamboyant, osait un tailleur blanc perlé et brodé, dans une veine presque baroque.
La beauté selon Peter Philips : éclat maîtrisé
Pour accompagner ces tenues d’exception, Peter Philips, Directeur de la Création et de l’Image du Maquillage Dior, a signé des looks beauté où la lumière est le fil rouge. Sur Natalie Portman, un teint perfecteur rehaussé d’un voile rosé (Dior Forever Skin Glow), un regard ourlé de brun et une bouche nude satinée (Rouge Dior 100 Nude Look Velvet).
Yara Shahidi et Dilraba Dilmurat ont bénéficié d’un traitement plus lumineux, avec des touches d’or sur les paupières et un glow accentué aux tempes, tandis que le teint de Jingyi Zhang affichait une matité diaphane réhaussée de blush rosé.













Entre l’architecture des silhouettes couture, la précision du vestiaire masculin et la subtilité du travail beauté, Dior orchestre une présence totale et cohérente sur le tapis rouge, affirmant une maîtrise globale de l’élégance contemporaine. Un début de festival placé sous le signe de l’excellence patrimoniale et de la créativité incarnée.

