New York, dans la lumière froide de décembre, a cette capacité singulière à transformer chaque trottoir en scène. Le 9 décembre, Lily Collins en a offert une démonstration éclatante en apparaissant dans un look FENDI issu de la Precollection Printemps-Été 2026 — une silhouette dont la délicatesse n’a d’égale que la précision couture qui la compose.
L’actrice portait une mini-robe bustier entièrement brodée, pièce qui condense tout le savoir-faire de FENDI : sophistication de la coupe, densité du motif, équilibre entre structure et sensualité. L’all-over d’embellissements, travaillé avec une minutie quasi joaillière, capture la lumière comme un relief textile en mouvement. Cette broderie intégrale, signature des ateliers romains, affirme la volonté de la maison de maintenir un dialogue exigeant entre artisanat haute couture et fluidité du prêt-à-porter.

La silhouette bustier, qui souligne l’élégance naturelle de Collins, s’inscrit dans cette nouvelle approche du féminin propre aux precollections FENDI : une féminité assurée, lumineuse, jamais statique. La mini-robe, courte mais sculptée, dessine une allure affirmée, contemporaine, pensée pour une ville qui aime autant la sophistication que l’énergie.
Le stylisme d’Andrew Mukamal — connu pour son instinct narratif, son sens de la silhouette et sa capacité à magnifier la personnalité de ses clientes — apporte la touche finale. Chez Lily Collins, il affine un équilibre rare : celui d’un glamour maîtrisé, moderne, où chaque détail souligne l’allure sans jamais la surcharger. Le résultat : une apparence qui revendique un luxe calme, texturé, profondément actuel.
Dans une saison où les maisons redoublent d’efforts pour capter l’attention visuelle des fashion capitals, cette apparition FENDI marque un geste fort : la confirmation d’une esthétique où broderie, sculpture textile et allure iconique se donnent rendez-vous au cœur de Manhattan.

