Chaque année, le rituel s’installe presque avec la précision d’un ballet : les rues scintillent, les vitrines respirent l’opulence des fêtes, et les couples français se disputent l’une des créations les plus inattendues – et les plus désirées – de la saison : le Calendrier de l’Avent Passage du Désir x Womanizer. Un objet devenu culte, dont la réputation tient à sa capacité rare à réconcilier élégance, hédonisme et complicité. Loin des codes tapageurs du marché, ce calendrier-là cultive une sensualité feutrée, très française, un art du plaisir sans vulgarité, pensé pour les duos qui aiment se retrouver autant que se surprendre.
Écrin sophistiqué, sélection haut de gamme, esprit sensuel mais jamais outrancier : l’Avent selon Passage du Désir est devenu un petit phénomène culturel à part entière. Certains y voient même une nouvelle manière d’habiter la saison : une intimité hivernale plus douce, plus consciente, où le luxe se mesure au plaisir partagé plutôt qu’à l’accumulation.
Alors, comment poursuivre cet élan une fois passée la frénésie du 24 décembre ? C’est précisément la question à laquelle l’enseigne répond en 2025, avec un geste inattendu et presque irrévérencieux.
Le Calendrier de l’Après, dévoilé cette année, ne cherche pas à prolonger Noël : il imagine une temporalité nouvelle, une entre-fête où l’on s’offre du temps, de la curiosité, du jeu. Un après-coup sensuel, raffiné, assumé.
Dans son écrin argenté façon boule à facettes, le coffret s’adresse aux amoureux de belles choses, à ceux pour qui le plaisir se vit comme un art appliqué. Sept jours, sept objets premium — une sorte de best-of sensuel repensé avec la précision d’un directeur artistique. Stimulation sans contact pour les adeptes de technologies pointues ; un rabbit nouvelle génération pour les esthètes du design ; un mini-wand pour les amateurs de puissance miniaturisée ; un œuf vibrant pour les soirées à deux qui font battre le cœur plus vite ; un dildo soft à ventouse pour les explorateurs du quotidien ; un cockring en silicone liquide pour sublimer les dynamiques de couple ; une gaine de masturbation pour repenser les plaisirs masculins avec élégance.
L’ensemble dessine une cartographie contemporaine du désir : non genrée, inclusive, subtile, parfaitement en accord avec l’évolution actuelle du luxe intime. On y retrouve l’esthétique pourpre chère à l’enseigne, ce jeu de textures ultra-douces, et surtout une sophistication technique – batterie rechargeable, silicone hypoallergénique – qui aligne l’objet intime sur les standards du design haut de gamme.
Pour les épicuriens qui aiment varier les expériences, Passage du Désir glisse d’ailleurs quelques inspirations supplémentaires dans son univers : les galets vibrants au design sculptural, comme Kalya ou Milos, ces formes organiques qui rappellent presque des objets de galerie ; les vibromasseurs point G nouvelle génération comme Cuba ou Gii, au look volontairement futuriste ; et ces pièces plus inattendues, presque conceptuelles, à l’image de Max le multifonctions ou de la fameuse Tour Eiffel vibrante – clin d’œil pop et totalement assumé à l’esprit Paris.
D’ailleurs, c’est précisément ce supplément d’âme parisien qui fait de Passage du Désir une maison à part. Un mélange de pudeur chic et de liberté affirmée, une façon de célébrer le désir comme un territoire d’élégance, d’audace maîtrisée, de complicité cultivée.
Avec ce Calendrier de l’Après, la maison propose finalement une vision rafraîchissante : ne plus considérer le plaisir comme un hors-saison, mais comme une continuité. Une manière d’étirer les fêtes, de transformer la fin d’année en parenthèse douce, intime, presque lumineuse. Et d’affirmer que le luxe, le vrai, commence justement quand les décorations retombent.