La sophistication commence au regard : sur le tapis rouge de la Mostra de Venise, Rebecca Ferguson immortalisait le geste qui transcende l’acte vestimentaire — en enfilant le modèle Spitzer de la maison helvétique Akoni Eyewear. Tel un écho visuel au télescope spatial américain qui lui a inspiré sa forme, cette monture incarne une exploration autant stylistique que symbolique.
Forgé dans l’ombre des ateliers japonais, le Spitzer (aussi référencé comme AKS‑525A‑54) se distingue par sa structure à triple pont, volumes successifs et lignes aérodynamiques évoquant l’élégance mécanique des véhicules d’époque — mais aussi l’obsession interne de la joaillerie et de l’horlogerie suisse Akoni Eyewear – Official Store. Le dessin superpose les cercles et intègre des coques latérales protectrices, mariant esthétique et fonctionnalité avec une précision technique rare.
Les branches moletées, signature reconnue d’Akoni, prolongent l’ergonomie sans compromis : confort, durabilité, équilibre visuel assuré — un langage visuel où chaque détail est une revendication. Le modèle est façonné en titane japonais léger, complété par des plaquettes en céramique et des bras de plaquettes en bêta‑titane, soulignant une exigence de qualité technique et tactile.
L’allure de Rebecca Ferguson revêt ici une dimension presque architecturale : la monture ne se contente plus de couronner le visage, elle le structure. Le choix de ce modèle, à Venise, résonne comme un manifeste : découverte, précision, futurisme aristocratique. Le Spitzer n’est plus accessoire — il est affirmation.
