Sous la lumière cristalline de la place Vendôme, la « jeune fille » fondée en 1975 par François Hérail et Michel Ermelin dévoile un nouveau chapitre de son best-seller romantique : Flower Poiray. La marguerite maison – inspirée des années 70 et lancée en 2015 – s’ouvre cette saison dans un jardin polychrome où les saphirs roses, jaunes ou bleus côtoient l’éclat glacé du diamant.



Un bouquet de lumière calibré au micron
Chaque bague cache un saphir central de 0,25 ct serti au cœur de deux corolles mobiles ; 108 diamants GVS totalisant 0,51 ct miroitent comme rosée matinale grâce à un micro-grain d’orfèvre, tandis qu’un polissage miroir cisèle chaque pétale. La virtuosité technique se lit dans la souplesse de la fleur : effleurer la bague suffit pour animer l’éclosion, signature ludique d’une maison née pour libérer le geste féminin.
Chromatisme émotionnel
Bleu pour la quiétude, rose pour l’affection, jaune pour la vitalité : Poiray orchestre une synesthésie joaillière où la couleur raconte le sentiment. En collier (8 000 €), boucles (6 200 €) ou bague (7 400 €), chaque création devient talisman personnel, miroir d’une humeur changeante — philosophie fidèle à l’ADN « joaillerie à vivre » qui fit le succès fulgurant de la maison dès les seventies.
Vendôme, atelier des métamorphoses
Réalisées en or blanc 750/1000, serties et polies dans les ateliers parisiens, les pièces Flower Poiray cristallisent l’alliance entre tradition d’orfèvre et esprit pop : un dialogue entre l’Art déco historique de Poiray et la fraîcheur d’une marguerite éternelle. À l’heure où la joaillerie courtise la génération néo-romantique, la collection célèbre le « moment présent » comme écrit en diamant.
Carnet de fleurs
Disponibles dans toutes les boutiques Poiray – notamment l’écrin de la place Vendôme – et sur poiray.com, ces pièces invitent à semer la couleur à même la peau. Un jardin secret qui, à chaque pétale, murmure la promesse d’un printemps sans fin.

