Un luxe discret mais profondément sensuel, pensé comme un retour à l’essentiel. Pour octobre 2025, David Mallett lance l’Australian Salt Scrub, un gommage-shampooing qui revisite l’art capillaire par le prisme du rituel minéral. Fidèle à son approche où sophistication et authenticité se conjuguent, le coiffeur parisien imagine un soin de renaissance, à la frontière entre purification et éclat.
La formule repose sur un ingrédient rare : le sel rose de la rivière Murray, récolté dans les terres australes, réputé pour sa richesse en minéraux. Associé à l’argile blanche, il agit comme une synergie purifiante qui exfolie en douceur, stimule la microcirculation et rééquilibre le pH du cuir chevelu. Le geste est simple : sur cheveux mouillés, la texture se métamorphose en une mousse aérienne, éliminant impuretés et résidus tout en préparant la fibre à recevoir les soins suivants.
Le scrub se distingue par une triple promesse : exfoliation délicate, sans agresser ; purification en profondeur, grâce à l’action minérale et circulatoire ; et équilibre naturel, garantissant éclat et vitalité durable. Utilisé une à deux fois par semaine en substitution du shampooing, il devient une clé de beauté simple mais hautement performante.
Dans l’univers saturé des soins capillaires, où l’innovation se traduit souvent par des complexes chimiques sophistiqués, Mallett oppose une vision presque archaïque du luxe : revenir aux éléments primordiaux. Le sel, héritage des civilisations antiques où il symbolisait pureté et conservation, rencontre ici l’art du coiffage contemporain. L’argile, elle, convoque un imaginaire de rituels ancestraux, du hammam oriental aux masques purifiants de la Grèce antique.
L’enjeu est aussi culturel : alors que la beauté « scalp care » s’impose comme l’un des segments en plus forte croissance, particulièrement en Asie et aux États-Unis, ce lancement positionne David Mallett au cœur de cette dynamique mondiale. Le produit, proposé à 67 €, traduit une volonté de concilier expertise parisienne et matières premières d’exception, avec un storytelling où nature et science ne s’opposent plus mais se complètent.
David Mallett poursuit ainsi une trajectoire singulière : celle d’un coiffeur devenu créateur d’objets de beauté, où chaque lancement apparaît comme une pièce de collection, à la fois rituel intime et manifeste esthétique.
