À l’aube de l’été 2026, Giorgio Armani propose un voyage stylistique tout en contrastes, où les points cardinaux se rejoignent sous l’ombre d’un palmier ou dans la transparence d’un lin vaporeux. Le vestiaire masculin se voit réinterprété avec légèreté, quelque part entre l’élégance métropolitaine, la quiétude balnéaire et l’exotisme dessiné en chevrons.


















































































Tailoring flottant et sensualité diffuse
La silhouette évolue dans une fluidité renouvelée : vestes croisées à col châle raccourcies, pantalons amples à pinces en goutte d’eau, resserrés à la cheville ou tombant souplement sur des souliers en suède, des sandales ou des chukka boots pastel. Les manteaux trench en cuir ont la légèreté d’une chemise ; les mailles, enveloppantes et aériennes, s’imposent comme des armures poétiques.
Une palette nomade et sensuelle
Le jeu chromatique cultive la surprise : sables brûlés du désert, bleus profonds atlantiques, gris urbains, rehaussés de bougainvillées méditerranéens, de cyclamen ou d’aigue-marine. Une tonalité de luxe discret qui exprime l’identité Armani : sophistiquée, intemporelle et résolument douce.
Accessoires en liberté : la nouvelle grammaire du détail
L’esprit nomade se prolonge dans les accessoires : étuis à lunettes et porte-clés portés au cou, ceintures nouées et tressées en triple, grands sacs de toile ou chapeaux en raphia tissé. Chaque objet semble détourné d’un quotidien imaginaire, réinterprété avec grâce et légèreté.
Un front row étoilé entre Hollywood et haute gastronomie
Sur les bancs du défilé, Simu Liu, Giancarlo Esposito, Jason Isaacs, Paul Tazewell, Ferzan Özpetek ou encore le chef Jackson Boxer, traduisent la transversalité culturelle de la maison : entre cinéma, scène et gastronomie, le langage Armani parle à toutes les disciplines du raffinement.
Pour cette saison PE26, Giorgio Armani ne crée pas un simple vestiaire, mais une partition stylistique, où chaque pièce incarne le souffle d’un monde sans boussole, mais guidé par la lumière et la matière. Une leçon de style, à la fois hédoniste et précise, fidèle à l’esprit du maître italien.

