Sous la lumière éclatante d’une verrière ou à l’ombre d’une pergola végétalisée, GRAMACI s’affirme comme une respiration ensoleillée au cœur de La Défense. À l’orée de l’été 2025, ce nouveau restaurant niché au sein de l’hôtel Renaissance promet bien plus qu’une parenthèse gourmande : une véritable immersion dans l’art de vivre méditerranéen, du petit-déjeuner à l’afterwork.
Le nom “Gramaci”, signifiant “merci” en provençal, résume l’intention du lieu : gratitude, partage, générosité. Cette philosophie s’incarne dans un décor conçu par Aaron David Clarke (Cecconi’s Dumbo, Soho House), mariant bois brut, céramiques italiennes artisanales et vaisselle dépareillée, pour un effet maison de vacances.
La carte est pensée comme une ode solaire aux rivages du Sud, où l’on picore des pimientos de Padrón (7 €), des arancini à la truffe (9 €), ou une pizzette provençale (8 €) avant de plonger dans une mer de linguine au tartare de gambas et bisque citronnée (29 €), ou un carpaccio de daurade subtilement relevé (16 €). Côté douceurs, la chariote de tartes méditerranéennes et le baba à la verveine (10 €) signent un final suave et racé.
La carte des vins – signée par une sélection rigoureuse de producteurs bio du pourtour méditerranéen – s’accorde avec soin aux mets, tandis que le bar propose des cocktails signature comme le “Velours” (vodka, verveine maison) ou le “Frisson de Basilic” (gin, citron, basilic), véritables clins d’œil liquides à la dolce vita.
Chez GRAMACI, le Sud ne se déguste pas : il se vit. Sur 500 m², entre intérieur chaleureux et terrasse foisonnante, l’adresse séduit autant les esthètes du goût que les amoureux de lumière. Une destination déjà culte pour les épicuriens urbains.
