Cannes, 15 mai 2025 — Sur le tapis rouge du 78e Festival de Cannes, la Maison Boucheron a offert une démonstration de son art joaillier pluriel, à travers trois interprétations stylistiques incarnées par Araya A. Hargate, Léa Drucker et Guslagie Malanda. Entre envolée graphique, rigueur Art déco et lumière sensuelle, la maison parisienne tisse un récit de féminité éclatante.
Araya A. Hargate, actrice et mannequin à l’aura magnétique, a opté pour la collection Plume de Paon. Un bracelet articulé autour d’un diamant taille rose, assorti à un collier entièrement pavé de diamants sur or blanc, composait une harmonie aérienne, prolongée par les boucles d’oreilles Vendôme, elles aussi serties de diamants. Une vision joaillière en apesanteur, à la croisée de l’exubérance maîtrisée et du raffinement.

Léa Drucker, tout en sobriété structurée, incarnait une élégance graphique avec la ligne Vendôme Liseré. En dormeuses, bague et bracelet, les diamants taille émeraude, encadrés de laque noire sur or blanc, créaient un jeu de contrastes net et sophistiqué. Une silhouette sculptée, pensée comme une ponctuation visuelle puissante.

Quant à Guslagie Malanda, elle choisissait la chaleur subtile de l’or rose avec les créations Pompon : un collier et des boucles d’oreilles intégralement pavés de diamants. Une incarnation charnelle et douce de la joaillerie, dans une fluidité qui épouse la lumière et magnifie la peau.

Par ce triptyque de personnalités, Boucheron démontre sa capacité à transcender les styles et les époques, tout en restant fidèle à son langage iconique : celui d’un luxe incarné, jamais figé, profondément contemporain.

