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diptyque ouvre sa seconde boutique à Tokyo

by pascal iakovou
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. Ouverture à Ginza . Tokyo .

Présente au Japon depuis plus d’une décennie, diptyque s’est installée il y a quatre ans à Tokyo, dans le quartier d’Aoyama, « quartier au luxe alternatif et éclectique ». C’est aujourd’hui dans Ginza, que la maison ouvre les portes de sa deuxième boutique tokyoïte, au sein du Mall G6.

diptyque : un art de vivre

Depuis sa création, la maison diptyque cultive un art de vivre dont elle seule a le secret. Une harmonie très parisienne faite de senteurs et d’objets raffinés dont l’esthétique est comme un prolongement de cet univers de fragrances à la fois surprenantes et d’une grande naturalité. Un univers élégant qui traduit une authentique liberté d’esprit, une ouverture à l’inattendu et aux rencontres. Diptyque est né au tout début des années 1960 de l’amitié de Christiane Gautrot, architecte d’intérieur, Desmond Knox-Leet, peintre, et Yves Coueslant, administrateur et décorateur de théâtre. S’ils se destinaient à l’origine à la création de tissus, leur amour des voyages et de la découverte a très vite élargi leur champ d’investigation. Nombre d’objets insolites glanés au cours de leurs périples sont venus emplir la boutique originelle ouverte en 1961. Une simplicité audacieuse, un tempérament précurseur… Le ton était donné. Tout cela se passait à Paris, au numéro 34 du boulevard Saint-Germain, dans cette boutique aux deux vitrines, comme deux pans d’une oeuvre, un « diptyque » qui donna son nom à la maison. L’endroit devint rapidement ce « bazar chic » — car c’est ainsi que la presse la surnomma — où l’on se pressait et où l’on se presse encore pour en respirer l’âme.

Entre Orient et Occident

Cette nouvelle boutique se veut lieu de rencontre entre l’Orient et l’Occident. L’intimité chaleureuse du 34 boulevard Saint-Germain, boutique parisienne historique de la marque, et la pureté formelle des intérieurs japonais s’accordent dans ce décor sobre dont la modernité tient à un éclectisme parfaitement maîtrisé, à une harmonie de matières naturelles, et de teintes douces. Papier de riz, bambou, laiton, meubles vintage… Accueilli d’un côté par l’emblématique médaillon ovale noir, et de l’autre par un mur de sabliers distillateurs de senteurs, symboles de la force inaliénable du temps.
La rigueur d’un métal anthracite souligne la façade inspirée des paravents japonais : des lamelles de laiton mêlées aux lamelles de bois, orientées de multiples manières, créent de subtils jeux d’ombre.

… L’art des cires parfumées

Les bougies parfumées, entièrement réalisées à la main, répondent aux mêmes exigences que les parfums pour soi… Leur gamme unique au monde, riche d’une cinquantaine de fragrances, est un hymne aux fruits, aux fleurs, aux arbres, aux épices. L’une nous entraîne dans un buisson de roses, l’autre dans un champ de foins fraîchement coupés, une autre encore sous un oranger, celle-ci devant un feu de bois, celle-là à l’ombre d’un hinoki…

Une bougie exclusive et un coffret de trois Eaux florales célèbrent l’ouverture de diptyque Ginza

Tokyo, c’est le nom de cette bougie exclusive présentée dans un verre opalin orné de feuillages, présentée dans un étui dont le graphisme évoque à la fois l’art inimitable des jardins japonais, symbole même de l’harmonie et de la sérénité, et une promenade sous les frondaisons majestueuses des parcs tokyoïtes, Yoyogi koen ou Shinjuku gyoen. Huile de pin, feuille de cèdre, mousse de chêne, encens, élémi, gingembre… Inhaler son parfum c’est être transporté dans un Tokyo intemporel, à l’ombre des hinokis, aux abords d’un sanctuaire où brûle de l’encens…
Trois roll-ons réunis dans un coffret au motif ancestral des vagues — seigaiha —, dispensent les senteurs de trois Eaux florales pensées comme des fragrances à l’écriture épurée, Eau Rose, Eau Mohéli et Géranium Odorata. La première met en majesté les plus belles roses de la parfumerie, la Centifolia (ou rose de Mai) et la Damascena (ou rose de Damas), la deuxième le plus précieux des ylang-ylang, celui d’une île des Comores, la troisième la vivacité inimitable de l’alliance de deux géraniums.

Découvrir ou redécouvrir une boutique diptyque…

…c’est s’accorder un moment pour soi, s’octroyer un moment « à part ». On y décèle fragrances et objets exclusifs, tels des secrets bien gardés que l’on ne trouvera nulle part ailleurs. C’est savourer ces rituels de découverte qui rendent chaque instant de son choix plus intense. C’est respirer le parfum du nouveau Sablier qui se joue du temps ou celui d’une bougie en la déposant sur un petit coussin qui lui est spécialement dédié. C’est partir avec le sentiment d’avoir été reçu chez un amateur éclairé qui n’a d’autre passion que celle de la partager.

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