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Le voyage à même la peau avec Louis Vuitton Parfums.

by pascal iakovou
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Partir. Quitter ce qui nous est familier pour une terre inconnue. Perdre ses repères pour se sentir encore plus proche de soi. Depuis sa création, la Maison Louis Vuitton a toujours été guidée par cet élan vers l’ailleurs. Avec sa toute première malle devenue un emblème, Louis Vuitton a fait la promesse d’accompagner la curiosité des voyageurs où qu’ils aillent. Or il suffit parfois de fermer les yeux pour être transporté à l’autre bout de son propre monde.
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Intérieur, métaphorique, immatériel, le voyage n’est pas une destination. C’est un sentiment. Un mouvement continu qui nourrit l’esprit et le corps. Une vibration qui déboussole les battements de cœur. Une empreinte éternelle dans la mémoire. Une émotion qui métamorphose les êtres. Autant d’instants suspendus qui inspirent aujourd’hui un nouveau savoir-faire : le parfum Louis Vuitton.

100ML-GAMMENé à Grasse, berceau de la parfumerie et des métiers du cuir, le Maître Parfumeur Jacques Cavalier Belletrud a passé des mois à sillonner les cinq continents en quête d’émotions inattendues. Celles ressenties lorsque l’on respire des matières rares. Celles de l’état d’abandon auquel on cède loin de chez soi. Il a alors imaginé sept voyages olfactifs. Sept créations à mettre sur la peau nue pour aller à la rencontre de soi. Sept scénarios pour s’inspirer pendant la traversée. Sept eaux de parfum, intensément féminines. Les parfums Louis Vuitton.
Du souffle du départ avec Rose des Vents aux Turbulences en altitude, de l’extase d’une première nuit avec Dans la Peau à la pleine conscience de la nature qui nous environne avec Apogée. Du dévoilement de soi avec Contre Moi à l’exploration de sa part sombre avec Matière Noire ou encore à l’explosion des sens avec Mille Feux… les parfums Louis Vuitton dessinent une cartographie des émotions en voyage. Pour partir. Juste en inspirant un sillage.

ROSE DES VENTS
Instrument indispensable à l’orientation du navigateur, la rose des vents donne l’élan du départ aux esprits libres. Un souffle évoquant la caresse d’une étoffe de soie concentre les quatre points cardinaux de la douceur.
Guidé par l’envie de composer un parfum aussi oxygéné que duveteux, Jacques Cavallier Belletrud nous embarque à Grasse au milieu d’un champ de roses centifolia. Mais cette rose de mai n’est ni nostalgique ni sirupeuse. Bousculée par le vent, elle vit. À bien l’écouter, on croirait qu’elle respire.

L’appel d’air
Pour créer cette impression de pétales flottant dans les airs, le parfumeur a fait appel à un trio de roses d’exception. L’absolu de rose centifolia extraite au CO2, une matière raffinée et exclusive à la Maison Louis Vuitton. L’essence de rose turque et l’essence de rose bulgare, toutes deux distillées à la vapeur.
Alors que l’icône des fleurs semblait déjà avoir livré tous ses secrets, la rose révèle un caractère inédit. Racée et altière grâce à l’iris florentin et au cèdre de Virginie, elle prend des accents piquants et glacés au contact du poivre. Progressivement, une sensation surprenante apparaît.
La composition devient tactile. Aussi délicate qu’une peau de fruit velouté. Aussi dorée que les premières lueurs du jour. De quoi accompagner toutes les aventures.

TURBULENCES
La découverte d’ailleurs lointains fait parfois l’impression de montagnes russes. Un saut dans le vide comme celui qu’on ressent en avion, au dessus des nuages. Cette peur fugace qui accélère les battements du cœur, disparaît et reprend de nouveau.
Inspiré par cet état qui ressemble au coup de foudre amoureux, Jacques Cavallier Belletrud rend ici hommage à la plus narcotique des fleurs. Celle qui met en transe sans jamais asphyxier et devient aussi addictive qu’une sensation extrême : la tubéreuse. Pas question d’en faire une caricature médicinale overdosée en fruits exotiques.


Sensations tachycardes
Turbulences place la tubéreuse à la tombée du jour.
Une idée venue un soir d’août à Grasse alors que Jacques raccompagne son père, parfumeur également, vers la sortie de son jardin. Les deux hommes s’arrêtent, brusquement alertés par un parfum de pétales blancs en fusion.
Impossible de démêler la senteur des tubéreuses des buissons de jasmin plantés dans le jardin. Bouleversé par cette composition dont la nature lui fait cadeau, Jacques Cavallier Belletrud passe alors plusieurs mois à sélectionner la palette nécessaire pour reconstituer ce souvenir.
Tubéreuse bien sûr mais aussi jasmin grandiflorum de Grasse, absolu jasmin sambac de Chine qu’on cultive pour parfumer les thés les plus précieux, magnolia de Chine, rose de mai ainsi qu’une légère touche de cuir pour son caractère animal.
Une fois vaporisé sur la peau, on chavire. Intensément. Délicieusement.

DANS LA PEAU
Serait-ce le fait d’être loin de tout qui met la fièvre aux corps ? Les saveurs exotiques et le décalage horaire qui désinhibent le désir ? Le voyage a aussi ce pouvoir : donner le goût de l’étreinte. De ces évocations torrides, Jacques Cavallier Belletrud imagine une rencontre qui tatoue l’épiderme comme une encre indélébile. Une infusion exclusive de cuir naturel issu des ateliers Louis Vuitton qui donne envie de respirer inlassablement la nuque.


L’exploration des sens
Sur la colonne vertébrale de ce cuir délicat viennent se greffer des accents d’abricot presque confit, de jasmin grassois extrait au CO2 — une exclusivité de la Maison Louis Vuitton — et de jasmin sambac de Chine.
Puis apparait l’absolu de narcisse, cette fleur si singulière qui évoque à la fois le tabac et la verdure des tiges fraîchement coupées. Le parfum devient audacieusement érotique.
La chorale des muscs les plus sensuels s’empare de la peau. Musc poudré. Musc propre. Musc animal. Musc floral.
Une symphonie haletante apaisée par des éclats de magnolia de Chine.
Dans la Peau ne feint pas le désir. Il le met à nu.

APOGEE
Il est des échappées qui nous reconnectent à nous mêmes. On se retrouve face à l’immensité de la nature, devant le vert cru d’une forêt dense, le silence d’un lac immobile, le vertige d’une cime en altitude. Et dans cette communion avec la terre, la banalité du quotidien fait place à l’essentiel : à chaque instant, il suffit d’être sensible à la beauté pour renaître. Éternellement.
Afin d’illustrer cette sensation particulière, Jacques Cavallier Belletrud a choisi l’emblème du renouveau : le muguet. Obsédé par cette senteur poétique adulée en Occident comme au Japon, Jacques Cavallier Belletrud imagine avec Apogée un concentré d’innocence.


Le renouveau éternel
Un parfum qui éveille les sens. À l’accord de muguet musqué, il associe du jasmin grassois, du magnolia de Chine et une quantité jamais vue de rose de mai grassoise extraite au CO2 — une matière exclusive à la Maison Louis Vuitton.
La dentelle des pétales semble alors apparaitre sur la peau. Et puis, derrière la transparence et l’impression aqueuse de ce muguet encore vert, se cache un fond nerveux qui vient prolonger les effets floraux. Le bois de gaïac subtilement fumé et l’essence de santal soutiennent alors le bouquet comme autant de tiges élancées vers le ciel.
La nature se renouvelle. Encore et toujours.

CONTRE MOI
Se promettre le bout du monde. Oser se dévoiler sans fard. Contre Moi évoque la fusion de deux êtres en voyage. Une effusion des sens qui met l’eau à la bouche et les émotions à fleur de peau.
Fasciné par la vanille depuis toujours, Jacques Cavallier Belletrud en connaît toutes les variétés botaniques.
L’infusion de Madagascar. Son absolu animal, presque cuiré. La vanille tahitensis si précieuse également. À la gousse noire et charnue, il préfère s’inspirer de l’orchidée.


La mise à nu
Contre moi hisse la vanille sur un territoire inexploré : celui de la fraîcheur. La composition agit alors sur l’esprit comme un renversement des sens. On se sent à la fois réconforté par la présence identifiable de la vanille et troublé par l’oxygène de fleurs injecté au cœur de la formule.
Au frisson de la matière savoureuse s’ajoute un fouillis de pétales délicats. Fleur d’oranger. Rose centifolia de Grasse. Essence de magnolia. Une touche subtile de cacao amer réaffirme le tempérament insoumis du parfum avant de laisser le champ libre à la graine d’ambrette, cette matière addictive qui simule la présence d’une liqueur de poire avant de se métamorphoser en musc duveteux.
Contre Moi révèle une vanille fraiche, aérienne et inédite. Un parfum irrésistible qui donne envie d’une fugue à deux.

MATIERE NOIRE
Ultime fantasme du voyage, l’exploration de l’univers reste l’aventure la plus palpitante. Une épopée cosmique qui nourrit l’imagination collective et nous plonge dans une obscurité intense. Un noir profond, immatériel et opaque où le temps se distord et où l’impossible devient une réalité tangible.
Imaginant cette matière mystérieuse dont on ne connaît que l’infime surface, Jacques Cavallier Belletrud décide de se rendre au delà du patchouli. Il choisit le bois le plus précieux de la parfumerie: l’agarwood du Laos. Une senteur dont il maîtrise chaque accent depuis de nombreuses années.


Dans l’obscurité de soi
Pour intensifier la noirceur du bois animal, il l’associe au cassis et contraste l’obscurité avec la blancheur du narcisse, et du jasmin sambac. La composition gagne alors en apesanteur. Une sensation de flottement au milieu de l’espace.
Une vibration florale traverse la noirceur comme une comète dans l’espace. La rose centifolia extraite au CO2 — une exclusivité de la Maison Louis Vuitton — et le cyclamen offrent l’impression d’une rosée du matin.
Sur la peau, le trouble est total, presque mystique. Des volutes d’encens sacré et de baume de benjoin s’enroulent autour de la composition. Matière Noire ne cesse les métamorphoses dans la pénombre. Comme s’il s’agissait d’un kaléidoscope olfactif.

MILLE FEUX
Rayon d’or, ciel d’étoiles, aurore boréale : la lumière participe à l’émerveillement du voyage. Surtout lorsqu’elle dévore tout sur son passage. Embrasant les champs au coucher du soleil, blanchissant les toitures en plein jour et mordant la peau
d’un éclat cuivré.
Souhaitant capturer cette incandescence dans un parfum, Jacques Cavallier Belletrud cherche une couleur vibrante capable de tisser son fil conducteur. En visitant un atelier de cuir de la Maison Louis Vuitton, il aperçoit un artisan en train de transformer une peau framboise en sac luxueux. Ce cuir aussi vif qu’un fruit mûr lui donne une idée : celle d’associer la senteur d’une peau à celle de la baie.


L’émoi incandescent
Il façonne alors sa composition avec une infusion de cuir exclusive à la Maison Louis Vuitton et de l’osmanthus de Chine, cette fleur blanche animale et abricotée. Avec ses pétales en forme d’étoile, l’osmanthus illumine le cuir à l’instar d’une main qui métamorphose et assouplit la peau. Une touche de concrète d’iris se mêle au safran, amplifiant la noblesse du cuir.
Parallèlement, l’accord de framboise à peine sucrée joue aussi sa partition. Encore jamais associés auparavant, la framboise et le cuir entrent en fusion comme deux amants enchainés l’un à l’autre.
Mille Feux fait l’effet d’une bombe émotionnelle. Un feu d’artifices. Une apothéose olfactive.

Le Flacon
À l’heure où certains pensent que le luxe est proportionnel au poids du verre, la Maison Louis Vuitton délivre le flacon des carcans qui l’emprisonnent. Le luxe véritable ne consisterait-il pas à alléger les gestes les plus courants ?
Élaboré par le designer Marc Newson, expert de la simplicité, le flacon de parfum Louis Vuitton fait le pari de la pureté absolue.
Lignes vierges de toute fioriture. Goutte d’eau en suspension. Typographie noire sur verre transparent. Même le nom de la Maison gravé dans le verre reste discret, apparaissant en relief sous les doigts ou dans un rayon de lumière.
À la tête de ce flacon aérien, un bouchon noir perceptible en transparence rappelle les pièces Emery du siècle dernier. Pourtant, lorsqu’on tire sur le capot frappé d’un poinçon en laiton avec le LV cerclé, un vaporisateur apparaît.
En semblant renouer avec un geste ancien, la marque Louis Vuitton propulse son flacon dans le futur.
Quant à l’écrin de papier blanc et or, il reprend la silhouette légendaire et cylindrique de Je, tu, il un parfum Louis Vuitton lancé en 1928, disparu depuis.

BOUCHON_DE_HAUTChacun des sept parfums Louis Vuitton est décliné en : 200ml, 100ml, flacon de voyage avec ses quatre cartouches de 7.5ml et un coffret de 7 miniatures de10ml.

Un écrin de verre intemporel
Les flacons de parfum Louis Vuitton sont conçus pour durer, ils pourront même être transmis.
Pour les remplir à nouveau, il suffit de les apporter dans un magasin de la Maison. Chacun disposera d’une fontaine à parfums, un outil développé spécialement pour ces flacons. En quelques secondes, le flacon vide se remplit en un clic sans aucun contact avec le jus comme s’il s’agissait d’une capsule futuriste. Une manière aussi de rendre hommage aux Fontaines Parfumées, l’atelier de création de Jacques Cavallier Belletrud à Grasse, où l’on pouvait dès le siècle dernier remplir son flacon à la source. Une expérience inédite

Le flacon de voyage
Conçu pour accompagner le moindre déplacement, le coffret comprend un flacon de voyage ainsi que quatre cartouches de 7.5ml. Aimantées, ces recharges d’un nouveau genre se clipsent instinctivement sur le vaporisateur.
En moins d’une seconde, le flacon de voyage est amorcé, prêt à repartir au bout du monde.

FLACON_DE_VOYAGELe flaconnier
Élaboré par les ateliers Louis Vuitton, cette malle en Monogram permet de transporter Imaginé pour les collectionneurs qui souhaitent profiter de chacune des sept créations, trois flacons de la collection en toute sécurité. À la manière des malles de beauté cet écrin renferme sept miniatures irrésistibles de 10ml. réalisées pour les élégantes qui voyageaient dans les années 1920.

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Les Parfums Louis Vuitton seront commercialisés exclusivement dans le réseau de magasins Louis Vuitton à partir du 1er Septembre prochain.

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