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Promenade pour un Objet d’Exception enchante l’Avenue Montaigne

by pascal iakovou
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Qui n’a jamais rêvé de pousser la porte des plus belles Maisons et de découvrir un secret jusqu’à présent si bien gardé ?

Le Comité Montaigne fait la promesse de cet instant précieux le temps d’une présentation éphémère, « Promenade pour un Objet d’Exception ».

Du jeudi 11 au samedi 13 septembre 2014, les Maisons et lieux de prestige de l’Avenue Montaigne et de la Rue François 1er dévoilent un objet extraordinaire : véritable œuvre d’art, pièce unique ou révélation d’une création exclusive.

Rudolph Stingel est un artiste majeur de la scène internationale contemporaine. Le principe de ce tableau est qu’il reproduit le motif d’un tapis classique. Le tapis est un objet de décoration de luxe et de raffinement, qui est ici complètement réinterprété dans quelque chose de définitivement plus moderne et radical, de part le monochrome noir et le support tableau. La confrontation entre le raffinement et la modernité permet de faire un parallèle tout à fait explicite avec Zadig&Voltaire de par l’illusion du textile. Réinventer une matière luxueuse et classique, que l’on peut retrouver dans les surteintures revisitées dans la collection hiver, au travers de pièces authentiques et du travail de la matière. Diplômé et collectionneur passionné, le fondateur Thierry Gillier puise dans l’art une inspiration résolument moderne et rock. Dans ses bureaux, au décor des boutiques, chez lui, ses œuvres fétiches façonnent un esprit, imprègnent les collections et soufflent de nouvelles collaborations. On s’inscrit là dans une démarche assez sophistiquée, pour mettre l’accent sur le coté luxe et intemporel. On est sur une valeur ultra sûre de l’art contemporain, avec un artiste mondialement reconnu et un travail sur le long terme d’une extrême richesse et de diversité. Enfin cette œuvre est exclusive car elle n’a jamais encore été montrée dans le cadre de nos collections.

Rudolph Stingel est un artiste majeur de la scène internationale contemporaine. Le principe de ce tableau est qu’il reproduit le motif d’un tapis classique. Le tapis est un objet de décoration de luxe et de raffinement, qui est ici complètement réinterprété dans quelque chose de définitivement plus moderne et radical, de part le monochrome noir et le support tableau.
La confrontation entre le raffinement et la modernité permet de faire un parallèle tout à fait explicite avec Zadig&Voltaire de par l’illusion du textile. Réinventer une matière luxueuse et classique, que l’on peut retrouver dans les surteintures revisitées dans la collection hiver, au travers de pièces authentiques et du travail de la matière.
Diplômé et collectionneur passionné, le fondateur Thierry Gillier puise dans l’art une inspiration résolument moderne et rock. Dans ses bureaux, au décor des boutiques, chez lui, ses œuvres fétiches façonnent un esprit, imprègnent les collections et soufflent de nouvelles collaborations.
On s’inscrit là dans une démarche assez sophistiquée, pour mettre l’accent sur le coté luxe et intemporel. On est sur une valeur ultra sûre de l’art contemporain, avec un artiste mondialement reconnu et un travail sur le long terme d’une extrême richesse et de diversité. Enfin cette œuvre est exclusive car elle n’a jamais encore été montrée dans le cadre de nos collections.

Ce pull, de la collection Balenciaga Automne-Hiver 2014, est construit comme un jeu d’origami. Pour plus d'élégance, la maille en laine et angora fusionne ici avec une soie duchesse drapée. Les éléments rebrodés reprennent l'aspect des oursins de mer avec une combinaison de tubes de verre, de perles et de strass. Inspirée à l'origine d'une broche des archives de Cristobal Balenciaga, la collection Automne Hiver 14-15 est truffée de cette broderie précieuse et sophistiquée que l'on retrouve sur les manchettes et colliers ponctuant les silhouettes.

 Inspirée à l’origine d’une broche des archives de Cristobal Balenciaga, la collection Automne Hiver 14-15 est truffée de cette broderie précieuse et sophistiquée que l’on retrouve sur les manchettes et colliers ponctuant les silhouettes.

Cette année Barbara Bui dédie son objet d’exception, un sac mini «Back to Black», à l’association «Paris Tout P’tit». Ce modèle d’exception reprend les codes de la collection Winter 2014. C’est tout le savoir-faire et l’originalité de la maison Barbara Bui qui sont mis en avant à travers ce modèle qui a nécessité 500 clous dont la mise en place a été faite à la main. Très rock, tout l’ADN de Barbara Bui se trouve dans ce sac, la couleur noire, le cuir, le métal et une doublure au motif «tartaruga» qui crée la surprise et adoucit ce sac au caractère affirmé. Madame Barbara Bui reversera le profit de la vente à l’association «Paris Tout P’tit» chère à son coeur.

Cette année Barbara Bui dédie son objet
d’exception, un sac mini «Back to Black»,
à l’association «Paris Tout P’tit».
Ce modèle d’exception reprend les codes de la
collection Winter 2014. C’est tout le savoir-faire
et l’originalité de la maison Barbara Bui qui sont
mis en avant à travers ce modèle qui a nécessité
500 clous dont la mise en place a été faite à la
main.
Très rock, tout l’ADN de Barbara Bui se trouve
dans ce sac, la couleur noire, le cuir, le métal
et une doublure au motif «tartaruga» qui crée la
surprise et adoucit ce sac au caractère affirmé.
Madame Barbara Bui reversera le profit de la
vente à l’association «Paris Tout P’tit» chère à
son coeur.

Bvlgari a imaginé un splendide collier Haute Joaillerie Serpenti, une pièce d’exception qui célèbre le serpent et son éternelle sensualité. Les diamants de de collier s’enchaînent le long de la queue du serpent, formant un ensemble de plus de 76 carats resplendissant de beauté précieuse. Deux diamants taille poire de 0,80 carat forment quant à eux les yeux du serpent. Ce collier a tout du reptile avec une structure en or blanc qui présente souplesse et sinuosité. Les bijoux Serpenti incarnent l’héritage classique de Bulgari. Depuis l’Égypte ancienne, le serpent a toujours été un symbole fort, garantissant protection et puissance à celui qui le porte. Cléopâtre, Très étroitement associée à l’Empire romain par ses relations amoureuses avec Jules-César et Marc-Antoine fit sa première apparition à Rome en 46 avant J-C devant une foule de spectateurs ébahis par sa beauté sublimée par de somptueux bracelets serpents en or. Près de deux millénaires plus tard, dans les années 1960, Elizabeth Taylor succombe au charme du serpent et demande à son joaillier favori, installé au 10 Via dei Condotti à Rome, de confectionner spécialement pour elle un bracelet Serpenti : il s’agit du célèbre bijou que la star portera sur le tournage du péplum Cléopâtre pour incarner la nouvelle reine du Nil.  Aujourd’hui, le serpent évoque un retour à la magie et au symbolisme mythologique. Au-delà des extraordinaires fonctions ornementales que lui procurent sa longue silhouette cylindrique et ses courbes féminines et sinueuses, le serpent incarne à merveille l’esprit des temps modernes, bannissant les frontières temporelles que Bulgari a toujours transcendé avec allégresse. Aujourd’hui plus que jamais, le reptile symbolise la capacité à se réinventer et à affirmer son style personnel, des valeurs essentielles à l’ère du culte de l’identité.

Bvlgari a imaginé un splendide collier Haute Joaillerie Serpenti, une pièce d’exception qui célèbre le serpent et son éternelle sensualité.
Les diamants de de collier s’enchaînent le long de la queue du serpent, formant un ensemble de plus de 76 carats resplendissant de beauté précieuse. Deux diamants taille poire de 0,80 carat forment quant à eux les yeux du serpent. Ce collier a tout du reptile avec une structure en or blanc qui présente souplesse et sinuosité.
Les bijoux Serpenti incarnent l’héritage classique de Bulgari. Depuis l’Égypte ancienne, le serpent a toujours été un symbole fort, garantissant protection et puissance à celui qui le porte. Cléopâtre, Très étroitement associée à l’Empire romain par ses relations amoureuses avec Jules-César et Marc-Antoine fit sa première apparition à Rome en 46 avant J-C devant une foule de spectateurs ébahis par sa beauté sublimée par de somptueux bracelets serpents en or. Près de deux millénaires plus tard, dans les années 1960, Elizabeth Taylor succombe au charme du serpent et demande à son joaillier favori, installé au 10 Via dei Condotti à Rome, de confectionner spécialement pour elle un bracelet Serpenti : il s’agit du célèbre bijou que la star portera sur le tournage du péplum Cléopâtre pour incarner la nouvelle reine du Nil.
Aujourd’hui, le serpent évoque un retour à la magie et au symbolisme mythologique. Au-delà des extraordinaires fonctions ornementales que lui procurent sa longue silhouette cylindrique et ses courbes féminines et sinueuses, le serpent incarne à merveille l’esprit des temps modernes, bannissant les frontières temporelles que Bulgari a toujours transcendé avec allégresse. Aujourd’hui plus que jamais, le reptile symbolise la capacité à se réinventer et à affirmer son style personnel, des valeurs essentielles à l’ère du culte de l’identité.

Stylo Plume D’Exception Décor Tigre – Maison Cartier « Telle une sculpture animalière, ce stylo plume à décor tigre, héros du bestiaire précieux Cartier, est ici saisi dans toute la plénitude de son repos. Animal d’Afrique, nouvelle terre d’inspiration pour Cartier, qui réalise grâce à un moulage précis, la silhouette du félin allongé sur un socle en cristal de roche, véritable savoir-faire issu de la joaillerie. Plus de 100 heures de travail ont été nécessaire à la création de ce stylo tout en contraste chromatique. Le seul sertissage des centaines de pierres qui composent ce stylo de prestige requiert plus d’une dizaine d’heures. La technique de laquage pour la réalisation des tigrures demande un soin très particulier : la laque est déposée à la seringue, tigrure par tigrure, puis patiemment polie pour obtenir un résultat parfait. La plume en or massif est gravée d’une tête de tigre. Le socle est réalisé en cristal de roche, sculpté à même un bloc de cristal. Cette opération, très délicate, demande un savoir-faire rare, privilège de seulement quelques ateliers dans le monde. Avec ce stylo plume d’exception, l’écriture entre dans le décor et signe sa présence joaillière au fil de détails d’excellence : tête pavée de diamants blancs et jaunes, yeux en émeraude, truffe en onyx, tâches en laque noire, plume en or massif…  Un objet précieux en édition limitée à 5 exemplaires dont l’esthétique et l’énergie des lignes traduisent la puissance du félin et l’art de Cartier, joaillier de l’animalier. »

Stylo Plume D’Exception Décor Tigre – Maison Cartier
« Telle une sculpture animalière, ce stylo plume à décor tigre, héros du bestiaire précieux Cartier, est ici saisi dans toute la plénitude de son repos. Animal d’Afrique, nouvelle terre d’inspiration pour Cartier, qui réalise grâce à un moulage précis, la silhouette du félin allongé sur un socle en cristal de roche, véritable savoir-faire issu de la joaillerie.
Plus de 100 heures de travail ont été nécessaire à la création de ce stylo tout en contraste chromatique. Le seul sertissage des centaines de pierres qui composent ce stylo de prestige requiert plus d’une dizaine d’heures. La technique de laquage pour la réalisation des tigrures demande un soin très particulier : la laque est déposée à la seringue, tigrure par tigrure, puis patiemment polie pour obtenir un résultat parfait. La plume en or massif est gravée d’une tête de tigre. Le socle est réalisé en cristal de roche, sculpté à même un bloc de cristal. Cette opération, très délicate, demande un savoir-faire rare, privilège de seulement quelques ateliers dans le monde.
Avec ce stylo plume d’exception, l’écriture entre dans le décor et signe sa présence joaillière au fil de détails d’excellence : tête pavée de diamants blancs et jaunes, yeux en émeraude, truffe en onyx, tâches en laque noire, plume en or massif…
Un objet précieux en édition limitée à 5 exemplaires dont l’esthétique et l’énergie des lignes traduisent la puissance du félin et l’art de Cartier, joaillier de l’animalier. »

"Cage à oiseaux" - CHANEL Joaillerie  Dans le salon de l'appartement de Gabrielle Chanel rue Cambon, posée sur une table basse, une précieuse cage abrite deux inséparables oiseaux en nacre.  Librement inspirée par cette cage miniature, la "Cage à oiseaux", pièce unique d'exception, réunit les savoir-faire de la Haute Joaillerie et de l'Horlogerie : sculpture, marqueterie de nacre et sertissage, autant de métiers d'art qui mettent en valeur cette pièce de collection.  Ce gracieux tête-à-tête se joue au cœur d'un décor où fleurs de camélia, plumes, matelassé, contraste du noir et du blanc, font écho aux codes stylistiques chers à la Maison.  Pendule "Cage à oiseaux" en or blanc 18 carats serti de diamants, tsavorites, pierres de lune, quartz rose, cristal de roche, nacre blanche et noire.

« Cage à oiseaux » – CHANEL Joaillerie
Dans le salon de l’appartement de Gabrielle Chanel rue Cambon, posée sur une table basse, une précieuse cage abrite deux inséparables oiseaux en nacre.
Librement inspirée par cette cage miniature, la « Cage à oiseaux », pièce unique d’exception, réunit les savoir-faire de la Haute Joaillerie et de l’Horlogerie : sculpture, marqueterie de nacre et sertissage, autant de métiers d’art qui mettent en valeur cette pièce de collection.
Ce gracieux tête-à-tête se joue au cœur d’un décor où fleurs de camélia, plumes, matelassé, contraste du noir et du blanc, font écho aux codes stylistiques chers à la Maison.
Pendule « Cage à oiseaux » en or blanc 18 carats serti de diamants, tsavorites, pierres de lune, quartz rose, cristal de roche, nacre blanche et noire.

Le panier de CHANEL Pour la collection Prêt-à-Porter Automne-Hiver 2014/15 de CHANEL, Karl Lagerfeld mixe les codes de la vie quotidienne à ceux de la Maison. «La liberté est l’esprit de la collection», déclare le créateur. Le panier de courses devient ainsi un accessoire de mode. Entièrement fabriqué de chaînes de métal argenté entrelacées de cuir noir et orné d’un pendant CC en laiton, il reflète l’audace et la créativité sans cesse renouvelée de Karl Lagerfeld Le panier de CHANEL sera exposé, agrémenté d’un flacon de N°5, dans la boutique CHANEL du 42, avenue Montaigne lors de l’événement «Promenade d’un objet d’exception» qui aura lieu du 11 au 13 septembre 2014

Le panier de CHANEL
Pour la collection Prêt-à-Porter Automne-Hiver 2014/15 de CHANEL, Karl Lagerfeld
mixe les codes de la vie quotidienne à ceux de la Maison. «La liberté est l’esprit de la
collection», déclare le créateur.
Le panier de courses devient ainsi un accessoire de mode. Entièrement fabriqué de
chaînes de métal argenté entrelacées de cuir noir et orné d’un pendant CC en laiton,
il reflète l’audace et la créativité sans cesse renouvelée de Karl Lagerfeld
Le panier de CHANEL sera exposé, agrémenté d’un flacon de N°5, dans la boutique
CHANEL du 42, avenue Montaigne lors de l’événement «Promenade d’un objet
d’exception» qui aura lieu du 11 au 13 septembre 2014

Aigrette colibri Or, argent, rubis et diamants Joseph Chaumet, circa 1890 Collection Chaumet Paris La nature est l'une des principales sources d'inspiration de Joseph Chaumet à la Belle Epoque. Ce colibri tout en mouvement est un exemple rare et délicat de son art. Pièce unique, il se porte en broche ou bien en aigrette, agrémenté de plumes.

Aigrette colibri
Or, argent, rubis et diamants
Joseph Chaumet, circa 1890
Collection Chaumet Paris
La nature est l’une des principales sources d’inspiration de Joseph Chaumet à la Belle Epoque. Ce colibri tout en mouvement est un exemple rare et délicat de son art. Pièce unique, il se porte en broche ou bien en aigrette, agrémenté de plumes.

Avant de devenir le couturier que tout le monde connait, Christian Dior fut galeriste. Entre 1928 et 1934, il ouvre deux galeries, la première avec Jacques Bonjean, la seconde avec Pierre Colle. Ensemble, ils exposent Pablo Picasso, Georges Braque, Max Ernst, Giorgio De Chirico, Man Ray, et font connaître Salvador Dalí, Leonor Fini et Alberto Giacometti.  Devenu couturier, Dior n’aura de cesse de rendre hommage à ses amis artistes à travers ses créations. Ce lien étroit,  la Maison Dior le perpétue aujourd’hui avec l’exposition Lady Dior As Seen By qui donne carte blanche à des artistes contemporains pour livrer leur vision de l’iconique sac Lady Dior. C’est entre autres l’œuvre de l’artiste Suisse Olympia Scarry que Dior choisit aujourd’hui de présenter dans la boutique de l’avenue Montaigne ; une pièce d’exception réalisée en marbre de Carrare.

Avant de devenir le couturier que tout le monde connait, Christian Dior fut galeriste. Entre 1928 et 1934, il ouvre deux galeries, la première avec Jacques Bonjean, la seconde avec Pierre Colle. Ensemble, ils exposent Pablo Picasso, Georges Braque, Max Ernst, Giorgio De Chirico, Man Ray, et font connaître Salvador Dalí, Leonor Fini et Alberto Giacometti.  Devenu couturier, Dior n’aura de cesse de rendre hommage à ses amis artistes à travers ses créations.
Ce lien étroit, la Maison Dior le perpétue aujourd’hui avec l’exposition Lady Dior As Seen By qui donne carte blanche à des artistes contemporains pour livrer leur vision de l’iconique sac Lady Dior. C’est entre autres l’œuvre de l’artiste Suisse Olympia Scarry que Dior choisit aujourd’hui de présenter dans la boutique de l’avenue Montaigne ; une pièce d’exception réalisée en marbre de Carrare.

Salvatore Ferragamo présentera le 11 Septembre prochain dans sa boutique Avenue Montaigne son nouvel « Objet Spécial » , le sac-à-main Fiamma créé en l’honneur de Fiamma Ferragamo, la première fille du fondateur de la maison Florentine. Un défilé sera également l’occasion de présenter la nouvelle collection Automne-Hiver 2014 avec un focus spécial sur le sac Fiamma et son harmonieux mélange de matières raffinées comme le cuir de vachette, le python, l’autruche, le crocodile et le façon pony, ornées de détails en métal poli. Durant la soirée, le sac-à-main pourra être personnalisé sur demande.

Salvatore Ferragamo présentera le 11 Septembre prochain dans sa boutique Avenue Montaigne son nouvel « Objet Spécial » , le sac-à-main Fiamma créé en l’honneur de Fiamma Ferragamo, la première fille du fondateur de la maison Florentine.
Un défilé sera également l’occasion de présenter la nouvelle collection Automne-Hiver 2014 avec un focus spécial sur le sac Fiamma et son harmonieux mélange de matières raffinées comme le cuir de vachette, le python, l’autruche, le crocodile et le façon pony, ornées de détails en métal poli.
Durant la soirée, le sac-à-main pourra être personnalisé sur demande.

 Si La Maison Fouquet était spécialisée à sa création en 1852 dans l’épicerie de luxe, son activité s’est vite élargie à la confiserie et aux gourmandises sucrées. Profitant de la mécanisation des techniques industrielles qui apparait dans la deuxième moitié du XIX siècle, Fouquet s’équipe de ce laminoir à bonbons qui permet de produire les fameux « acidulés Fouquet ». Le bâti est en fonte et les rouleaux, en bronze, sont gravés au nom de la marque. Plus de 20 différentes sortes de bonbons sont fabriquées sur ce  laminoir, du coquelicot à la violette en passant par le jasmin….ou le patchouli !!! Jusqu’au début du XXème siècle et l’acquisition d’un outil motorisé mais fonctionnant sur le même principe, Fouquet utilisera cet objet pour la production de gourmandises…. »

Si La Maison Fouquet était spécialisée à sa création en 1852 dans l’épicerie de luxe, son activité s’est vite élargie à la confiserie et aux gourmandises sucrées.
Profitant de la mécanisation des techniques industrielles qui apparait dans la deuxième moitié du XIX siècle, Fouquet s’équipe de ce laminoir à bonbons qui permet de produire les fameux « acidulés Fouquet ».
Le bâti est en fonte et les rouleaux, en bronze, sont gravés au nom de la marque.
Plus de 20 différentes sortes de bonbons sont fabriquées sur ce  laminoir, du coquelicot à la violette en passant par le jasmin….ou le patchouli !!!
Jusqu’au début du XXème siècle et l’acquisition d’un outil motorisé mais fonctionnant sur le même principe, Fouquet utilisera cet objet pour la production de gourmandises…. »

Le sac Borgonuovo est le sac icône de la Maison - nommé de cette façon grâce à la Via Borgonuovo, en plein coeur du quartier artisitque de Brera.  Cette rue nous transmet son calme, sa subtilité et son élégance intemporelle.  Le sac Borgonuovo est ainsi dédicacé à cette rue - lieu qui est au centre de l'histoire de la Maison et représentant l'attention méticuleuse qu'elle porte à ses créations.  En crocodile bleu avec double anse et fermeture éclair, et sa doublure doré clair.

Le sac Borgonuovo est le sac icône de la Maison – nommé de cette façon grâce à la Via Borgonuovo, en plein coeur du quartier artisitque de Brera.
Cette rue nous transmet son calme, sa subtilité et son élégance intemporelle.
Le sac Borgonuovo est ainsi dédicacé à cette rue – lieu qui est au centre de l’histoire de la Maison et représentant l’attention méticuleuse qu’elle porte à ses créations.
En crocodile bleu avec double anse et fermeture éclair, et sa doublure doré clair.

GIORGIO ARMANI uomo_Crocodile bag_Parigi

L’effet dégradé du sac crocodile Giorgio Armani a été réalisé grâce à une peinture à la main, où les parties les plus sombres se concentrent sur les bords.

GIVENCHY

Robe Givenchy Haute Couture par Riccardo Tisci, Collection Printemps-Eté 2007 Givenchy présente une des robes les plus emblématiques des archives de la maison, issue de la collection Printemps-Eté 2007 Givenchy Haute Couture par Riccardo Tisci. Pour cette collection, Riccardo Tisci, Directeur Artistique de la maison Givenchy, s’est inspiré de l’univers marin. A travers les créations de ce défile, il explore tous les éléments aquatiques : coquillages et sirènes, riches en couleurs et en textures qui offrent un équilibre subtil entre le structuré et le fluide, le masculin et le féminin. Cette robe en organza de soie taupe incarne à la perfection l’alliance entre la modernité de la vision créative de Riccardo Tisci au savoir-faire des Ateliers Haute Couture de la maison, comme une approche nouvelle du vestiaire féminin inventé par Hubert de Givenchy en 1952. La silhouette, corsetée en haut, se devine au travers des plis d’origami qui ornent la robe comme une répétition du squelette interne d’un nautilus. Elle s’équilibre avec une volumineuse jupe laissant apparaître en transparence les jambes sous une autre jupe boule courte. Le jeu entre la délicatesse de la jupe et la forme de la robe sont l’incarnation même du romantisme sans cesse réinventé par Riccardo Tisci pour Givenchy. La création d’une robe aussi singulière et minutieuse est le résultat de plusieurs centaines d’heures de travail réalisé par les Ateliers Haute Couture. Cette robe, symbole même de la vision de Riccardo Tisci pour la ligne Givenchy Haute Couture, a été exposée de nombreuses fois dans des expositions à travers le monde.

PLAZA ATHENEE

L’œuvre « ABCD » d’Angélique Lefèvre est un clin d’œil au positionnement Haute Couture du Plaza Athénée. Cette sculpture a été exposée par Maison Parisienne* dans le palace de l’avenue Montaigne  depuis la première exposition en décembre 2008. Réalisée entièrement en Organdi, cette œuvre représente plus de 1400 heures et symbolise le savoir-faire nécessaire à l’élaboration de créations exceptionnelles. Chaque lettre fait référence aux outils emblématiques du milieu de la Mode et plus particulièrement de la Haute Couture. Le A d’aiguille, B de bobine, C de ciseaux ou D de Dé. Comme un abécédaire, les lettres s’assemblent pour former une parfaite harmonie et un rendu unique. Cette sculpture liée au savoir-faire rejoint les valeurs communes du palace de l’avenue Montaigne telles que la précision et le sur-mesure. Elle sera exposée pendant trois jours dans le Salon Couture du Plaza Athénée.

Jimmy Choo présentera son nouveau cube de service Sur-Mesure, un service à la demande qui propose aux clientes une séduisante sélection de modèles à personnaliser dans une multitude de couleurs, de matières et finitions pour plaire à chacune. Les chaussures sur mesure nous ramènent aux racines même de la marque et cette tradition s’est poursuivie discrètement tout au long de l’évolution de la Maison : d’un petit atelier londonien à une maison de luxe de renommée mondiale. Occasionnellement, et sur demande, une cliente pouvait commander une paire de chaussures dans une matière exotique ou une couleur unique pour un évènement spécial, principalement pour le tapis rouge, où les chaussures sur mesure de Jimmy Choo ont toujours été présentes. Afin d'incarner le style de la Maison, Sandra Choi, Directrice de la Création, a choisi ses silhouettes Jimmy Choo préférées pour son service Sur-Mesure. Des modèles emblématiques et intemporels, comme l’escarpin ANOUK, et les sandales LANCE, XENIA et TITE, avec différentes hauteurs de talon, adorés par la clientèle internationale et parfaitement adaptés à la personnalisation. Les chaussures de rêve deviennent réalité grâce à un large choix de matières et de couleurs. Les clientes peuvent choisir parmi les veaux velours délicats, les satins brillants, les cuirs précieux, les paillettes, le crocodile ou les peaux de serpents exotiques, et faire preuve de créativité avec une vaste palette de couleurs. Pour une touche encore plus personnelle, les clientes Sur-Mesure ont l’opportunité de personnaliser les semelles des chaussures avec leurs initiales en monogramme. « Chez Jimmy Choo, nous avons cherché au fil du temps, à continuer de garder le même niveau de service personnalisé et l’attention aux détails comme à l’époque où nous réalisions une paire de chaussures à la fois, pour une cliente à la fois. En proposant ce service de personnalisation directement à nos clientes dans nos boutiques, nous sommes capables de préserver fidèlement notre tradition de sur-mesure, et de donner à chaque femme la chance d’acquérir une paire de Jimmy Choo unique. » Sandra Choi, Directrice de la Création. Idéal pour les passionnées de chaussures qui cherchent à constituer un vestiaire sur-mesure ou pour les mariées qui préparent leur garde-robe de chaussures de mariage, ce service exclusif mêle le savoir-faire de l’artisanat italien propre à Jimmy Choo à la haute qualité des matières.

Jimmy Choo présentera son nouveau cube de service Sur-Mesure, un service à la demande qui propose aux clientes une séduisante sélection de modèles à personnaliser dans une multitude de couleurs, de matières et finitions pour plaire à chacune.
Les chaussures sur mesure nous ramènent aux racines même de la marque et cette tradition s’est poursuivie discrètement tout au long de l’évolution de la Maison : d’un petit atelier londonien à une maison de luxe de renommée mondiale. Occasionnellement, et sur demande, une cliente pouvait commander une paire de chaussures dans une matière exotique ou une couleur unique pour un évènement spécial, principalement pour le tapis rouge, où les chaussures sur mesure de Jimmy Choo ont toujours été présentes.
Afin d’incarner le style de la Maison, Sandra Choi, Directrice de la Création, a choisi ses silhouettes Jimmy Choo préférées pour son service Sur-Mesure. Des modèles emblématiques et intemporels, comme l’escarpin ANOUK, et les sandales LANCE, XENIA et TITE, avec différentes hauteurs de talon, adorés par la clientèle internationale et parfaitement adaptés à la personnalisation.
Les chaussures de rêve deviennent réalité grâce à un large choix de matières et de couleurs. Les clientes peuvent choisir parmi les veaux velours délicats, les satins brillants, les cuirs précieux, les paillettes, le crocodile ou les peaux de serpents exotiques, et faire preuve de créativité avec une vaste palette de couleurs. Pour une touche encore plus personnelle, les clientes Sur-Mesure ont l’opportunité de personnaliser les semelles des chaussures avec leurs initiales en monogramme.
« Chez Jimmy Choo, nous avons cherché au fil du temps, à continuer de garder le même niveau de service personnalisé et l’attention aux détails comme à l’époque où nous réalisions une paire de chaussures à la fois, pour une cliente à la fois. En proposant ce service de personnalisation directement à nos clientes dans nos boutiques, nous sommes capables de préserver fidèlement notre tradition de sur-mesure, et de donner à chaque femme la chance d’acquérir une paire de Jimmy Choo unique. » Sandra Choi, Directrice de la Création.
Idéal pour les passionnées de chaussures qui cherchent à constituer un vestiaire sur-mesure ou pour les mariées qui préparent leur garde-robe de chaussures de mariage, ce service exclusif mêle le savoir-faire de l’artisanat italien propre à Jimmy Choo à la haute qualité des matières.

Dynamique, pure et puissant Avec son design pur et unique, son ensemble de technologies innovantes, sa dynamique exceptionnelle et une qualité excellente, la Huracán offre une expérience de super voiture de sport sur un tout nouveau niveau, combinant performance absolue avec un comportement routier facile à conduire à la fois axée sur une finition luxe et sportive. La vitesse de pointe de plus de 325 km/h et l’accélération de 0 à 100 km/h en 3,2 secondes et 200 km/h en 9,9 secondes décrit seulement en partie l’expérience dynamique au volant de la Huracán. Avec un poids à sec de 1422 kg, il permet non seulement l’excellent rapport poids puissance de seulement 2, 33 kg par cheval, mais aussi il garantit la précision d’une voiture de course et une rigidité habile. La technologie de pointe et l’artisanat de haut niveau se rencontrent en un design audacieux avec des arêtes vives, des volumes monolithiques et sculptées et des surfaces précises. Le point de départ de la silhouette de la Huracán, née de la volonté de créer une automobile, dont le profil est défini par une seule ligne qui fusionne l’avant avec le cockpit et l’arrière de la voiture.

Dynamique, pure et puissant
Avec son design pur et unique, son ensemble de technologies innovantes, sa dynamique exceptionnelle et une qualité excellente, la Huracán offre une expérience de super voiture de sport sur un tout nouveau niveau, combinant performance absolue avec un comportement routier facile à conduire à la fois axée sur une finition luxe et sportive.
La vitesse de pointe de plus de 325 km/h et l’accélération de 0 à 100 km/h en 3,2 secondes et 200 km/h en 9,9 secondes décrit seulement en partie l’expérience dynamique au volant de la Huracán. Avec un poids à sec de 1422 kg, il permet non seulement l’excellent rapport poids puissance de seulement 2, 33 kg par cheval, mais aussi il garantit la précision d’une voiture de course et une rigidité habile.
La technologie de pointe et l’artisanat de haut niveau se rencontrent en un design audacieux avec des arêtes vives, des volumes monolithiques et sculptées et des surfaces précises. Le point de départ de la silhouette de la Huracán, née de la volonté de créer une automobile, dont le profil est défini par une seule ligne qui fusionne l’avant avec le cockpit et l’arrière de la voiture.

LOEWE fut créée comme une coopérative d´artisans du cuir au centre de Madrid en 1846. Consolidée sous son nom par l´entrepreneur allemand Enrique Loewe Roessberg en 1872, c´est une des premières maisons mondiales du luxe. Un engagement à la conception innovante émergea très tôt comme une des caractéristiques qui définissent la maison, comme en témoigne la modernité des boutiques conçues par l´architecte Javier Carvajal pour LOEWE dans les années 50 et 60. Renzo Zengiaro créa la collection sculpturale ‘Grands Architectes’ en 1992 comme un clin d´œil aux sacs LOEWE des années 40. Avec une coque en bois recouverte par un boxcalf de la meilleure qualité au monde --produit par la légendaire tannerie Freudenberg en Allemagne-- la ligne de sacs en napa célèbre la pureté de la forme sans pour autant compromettre la fonctionnalité.  Utile et extraordinaire,  ‘Grands Architectes’ est en accord avec l´esprit actuellement renouvelé de la maison, LOEWE reconfigure un héritage de 168 ans sous la direction créative de Jonathan Anderson.

LOEWE fut créée comme une coopérative d´artisans du cuir au centre de Madrid en 1846. Consolidée sous son nom par l´entrepreneur allemand Enrique Loewe Roessberg en 1872, c´est une des premières maisons mondiales du luxe.
Un engagement à la conception innovante émergea très tôt comme une des caractéristiques qui définissent la maison, comme en témoigne la modernité des boutiques conçues par l´architecte Javier Carvajal pour LOEWE dans les années 50 et 60.
Renzo Zengiaro créa la collection sculpturale ‘Grands Architectes’ en 1992 comme un clin d´œil aux sacs LOEWE des années 40. Avec une coque en bois recouverte par un boxcalf de la meilleure qualité au monde –produit par la légendaire tannerie Freudenberg en Allemagne– la ligne de sacs en napa célèbre la pureté de la forme sans pour autant compromettre la fonctionnalité.
Utile et extraordinaire, ‘Grands Architectes’ est en accord avec l´esprit actuellement renouvelé de la maison, LOEWE reconfigure un héritage de 168 ans sous la direction créative de Jonathan Anderson.

Louis Vuitton expose la malle Albert Kahn à l’occasion de   la seconde édition de la « Promenade pour un objet d’exception » Pour cette seconde édition de la « Promenade pour un objet d’exception » organisée par le Comité Montaigne, La Maison Louis Vuitton a choisi d’exposer un objet emblématique de son histoire: la Malle spéciale pour photographie d’Albert Kahn. Portant le nom du célèbre humaniste et philanthrope français qui en passa commande en 1929, cette pièce apparaît comme totalement inédite à l'époque. Exclusivement imaginée, conçue et réalisée pour le seul usage d’Albert  Kahn, elle obéit en effet à ses habitudes de travail en voyage.  Malle hermétique, de toile rouge bordée de ferrures noires, avec des poignées en corde conçues pour les expéditions. Doublé de toile grise, l’intérieur est légèrement capitonné et aménagé pour recevoir les appareils et le matériel photographiques du mécène. Autre signe de son exception : sa signature « envol » qu’Albert Kahn avait lui-même calligraphié ; les trois XXX en blanc qui permettaient dans le monde entier d’identifier ses malles. Véritable passerelle entre l’art et l’univers de la mode, l’exposition de cette malle témoigne d’un savoir-faire unique qui continue encore aujourd’hui d’inspirer. En témoigne le défilé Automne-Hiver 2014 de Nicolas Ghesquière, qui a revisité la célèbre signature « envol », la faisant figurer sur les Petites Malles réalisées pour l’occasion. Pendant 10 jours, du 11 au 21 septembre 2014, le public pourra donc découvrir au 24 rue François Ier,  cet objet d’exception, symbole du talent de La Maison Louis Vuitton. Un vernissage y sera organisé à l’intérieur du magasin le jeudi 11 septembre à partir de 18h30. Depuis 1854, Louis Vuitton propose des créations uniques, où l’innovation technique s’allie à l’exigence du style en ambitionnant la plus haute qualité. La Maison reste fidèle à l’esprit de Louis, son fondateur et inventeur de l’ « Art du voyage ». Ses bagages, sacs et accessoires furent aussi novateurs qu’élégants et ingénieux. Aujourd’hui encore, l’audace dicte l’histoire de Louis Vuitton. Fidèle à son héritage, la Maison a ouvert ses portes aux architectes, artistes ou designers tout en investissant de nouveaux domaines d’expression comme le Prêt-à-Porter, les Souliers, les Accessoires, les Montres, la Joaillerie ou encore l’Ecriture. Ces produits fabriqués avec grand soin attestent l’engagement de Louis Vuitton pour la

Louis Vuitton expose la malle Albert Kahn à l’occasion de
la seconde édition de la « Promenade pour un objet d’exception »
Pour cette seconde édition de la « Promenade pour un objet d’exception » organisée par le Comité Montaigne, La Maison Louis Vuitton a choisi d’exposer un objet emblématique de son histoire: la Malle spéciale pour photographie d’Albert Kahn.
Portant le nom du célèbre humaniste et philanthrope français qui en passa commande en 1929, cette pièce apparaît comme totalement inédite à l’époque. Exclusivement imaginée, conçue et réalisée pour le seul usage d’Albert Kahn, elle obéit en effet à ses habitudes de travail en voyage.
Malle hermétique, de toile rouge bordée de ferrures noires, avec des poignées en corde conçues pour les expéditions. Doublé de toile grise, l’intérieur est légèrement capitonné et aménagé pour recevoir les appareils et le matériel photographiques du mécène. Autre signe de son exception : sa signature « envol » qu’Albert Kahn avait lui-même calligraphié ; les trois XXX en blanc qui permettaient dans le monde entier d’identifier ses malles.
Véritable passerelle entre l’art et l’univers de la mode, l’exposition de cette malle témoigne d’un savoir-faire unique qui continue encore aujourd’hui d’inspirer. En témoigne le défilé Automne-Hiver 2014 de Nicolas Ghesquière, qui a revisité la célèbre signature « envol », la faisant figurer sur les Petites Malles réalisées pour l’occasion.
Pendant 10 jours, du 11 au 21 septembre 2014, le public pourra donc découvrir au 24 rue François Ier, cet objet d’exception, symbole du talent de La Maison Louis Vuitton. Un vernissage y sera organisé à l’intérieur du magasin le jeudi 11 septembre à partir de 18h30.
Depuis 1854, Louis Vuitton propose des créations uniques, où l’innovation technique s’allie à l’exigence du style en ambitionnant la plus haute qualité. La Maison reste fidèle à l’esprit de Louis, son fondateur et inventeur de l’ « Art du voyage ». Ses bagages, sacs et accessoires furent aussi novateurs qu’élégants et ingénieux. Aujourd’hui encore, l’audace dicte l’histoire de Louis Vuitton. Fidèle à son héritage, la Maison a ouvert ses portes aux architectes, artistes ou designers tout en investissant de nouveaux domaines d’expression comme le Prêt-à-Porter, les Souliers, les Accessoires, les Montres, la Joaillerie ou encore l’Ecriture. Ces produits fabriqués avec grand soin attestent l’engagement de Louis Vuitton pour la

Née en 1983, Fan Xiaoyan est une jeune artiste chinoise qui vit et travaille à Beijing. Elle s’est fait connaître pour ses sculptures de femmes–machines, sortes d’hybrides ou cyborgs, par lesquelles elle évoquait « l’avènement d’une nouvelle ère, d’un nouveau genre humain, d’un nouveau pouvoir, d’un monde virtuel et surréaliste ». Avec sa nouvelle série, elle continue son exploration de l’influence de la technologie sur l’évolution de la Nature et de ses produits, du monde actuel qui devient kafkaïen. Les trois oeuvres présentées ici, un coquillage, produit de la mer et deux produits de la terre sont surdimensionnés, le premier se protégeant, et les deux autres à l’inverse, essayant de se libérer, probablement de cette technologie transformant la nature. Fan Xiaoyan associe la chair, douce et chaude des fruits avec l’acier, solide et froid, et joue avec les contrastes pour nous atteindre tant au niveau visuel que psychologique.

Née en 1983, Fan Xiaoyan est une jeune artiste chinoise qui vit et travaille à Beijing. Elle s’est fait
connaître pour ses sculptures de femmes–machines, sortes d’hybrides ou cyborgs, par lesquelles elle
évoquait « l’avènement d’une nouvelle ère, d’un nouveau genre humain, d’un nouveau pouvoir, d’un
monde virtuel et surréaliste ». Avec sa nouvelle série, elle continue son exploration de l’influence de la
technologie sur l’évolution de la Nature et de ses produits, du monde actuel qui devient kafkaïen. Les
trois oeuvres présentées ici, un coquillage, produit de la mer et deux produits de la terre sont
surdimensionnés, le premier se protégeant, et les deux autres à l’inverse, essayant de se libérer,
probablement de cette technologie transformant la nature. Fan Xiaoyan associe la chair, douce et
chaude des fruits avec l’acier, solide et froid, et joue avec les contrastes pour nous atteindre tant au
niveau visuel que psychologique.

A l’occasion de la “Promenade pour un objet d’exception”, une partie du stand “Animal House” [La maison des animaux, n.d.t.] – présenté lors du Salon du Meuble 2014 à Milan (Italie) -  sera présente en direct à la Boutique Marni du 57 Avenue Montaigne.  Un caravansérail festif de Marni, où des animaux en métal et en PVC aux couleurs lumineuses se rendront maîtres de l’espace extérieur. Marni a collaboré avec un groupe de femmes colombiennes pour créer de nouvelles pièces faites à la main, dont chacune est unique, façonnée en différentes couleurs. Le leitmotiv du projet de cette année est l’asymétrie, qui engendre des figures spatiales, potentiellement infinies grâce à l’utilisation de formes multiples.  Lancée en 1994, Marni est une marque de luxe, la favorite d’une judicieuse coterie de femmes curieuses et sophistiquées, qui ne suivent pas nécessairement la mode mais qui sont douées d’une forte identité et d’une vision personnelle.  En fait, Marni est avant tout un état d’esprit: légèrement en dehors des schémas et subtilement subversive. C’est un langage visuel original et imprévisible: graphique, rigoureux, dont l’auteur est Consuelo Castiglioni. Cette designer née en Suisse transmet son sens personnel de l’élégance et de son approche expérimentale aux matériaux et aux couleurs, son talent unique pour mélanger les impressions et les formes dans des collections qui sont à la fois irrévérencieuses et émotionnelles, avec un goût éclectique mais cohérent. Loin de vouloir imposer un diktat, Marni présente toute une gamme de possibilités. Pas de limites ni d’impositions: voilà comment Consuelo conçoit le style. Sa griffe est intemporelle, son approche d’avant-garde. Dans un dialogue permanent avec le monde de l’art, Consuelo implique des artistes, confirmés et émergents, dans des projets particuliers aussi bien pour la vente au détail que pour la production. Une affaire de famille dans la meilleure tradition italienne, Marni est un exemple hors-concours des qualités qui donnent son importance au label Made in Italy. Tout, depuis les prototypes jusqu’aux pièces finies, est fabriqué au sein de l’entreprise à Milan, en garantissant de la sorte le plus haut niveau de qualité, point sur lequel Consuelo n’accepte aucun compromis. En 2012, Marni rejoint le groupe OTB. L’activité principale tourne autour du prêt-à-porter féminin, des sacs et des chaussures. Les lignes de produits de style de vie comprennent des bijoux, des lunettes, des vêtements et accessoires pour homes, des vêtements pour enfants et des parfums.

A l’occasion de la “Promenade pour un objet d’exception”, une partie du stand “Animal House” [La maison des animaux, n.d.t.] – présenté lors du Salon du Meuble 2014 à Milan (Italie) – sera présente en direct à la Boutique Marni du 57 Avenue Montaigne.
Un caravansérail festif de Marni, où des animaux en métal et en PVC aux couleurs lumineuses se rendront maîtres de l’espace extérieur.
Marni a collaboré avec un groupe de femmes colombiennes pour créer de nouvelles pièces faites à la main, dont chacune est unique, façonnée en différentes couleurs. Le leitmotiv du projet de cette année est l’asymétrie, qui engendre des figures spatiales, potentiellement infinies grâce à l’utilisation de formes multiples.
Lancée en 1994, Marni est une marque de luxe, la favorite d’une judicieuse coterie de femmes curieuses et sophistiquées, qui ne suivent pas nécessairement la mode mais qui sont douées d’une forte identité et d’une vision personnelle.
En fait, Marni est avant tout un état d’esprit: légèrement en dehors des schémas et subtilement subversive. C’est un langage visuel original et imprévisible: graphique, rigoureux, dont l’auteur est Consuelo Castiglioni. Cette designer née en Suisse transmet son sens personnel de l’élégance et de son approche expérimentale aux matériaux et aux couleurs, son talent unique pour mélanger les impressions et les formes dans des collections qui sont à la fois irrévérencieuses et émotionnelles, avec un goût éclectique mais cohérent. Loin de vouloir imposer un diktat, Marni présente toute une gamme de possibilités. Pas de limites ni d’impositions: voilà comment Consuelo conçoit le style. Sa griffe est intemporelle, son approche d’avant-garde. Dans un dialogue permanent avec le monde de l’art, Consuelo implique des artistes, confirmés et émergents, dans des projets particuliers aussi bien pour la vente au détail que pour la production. Une affaire de famille dans la meilleure tradition italienne, Marni est un exemple hors-concours des qualités qui donnent son importance au label Made in Italy. Tout, depuis les prototypes jusqu’aux pièces finies, est fabriqué au sein de l’entreprise à Milan, en garantissant de la sorte le plus haut niveau de qualité, point sur lequel Consuelo n’accepte aucun compromis. En 2012, Marni rejoint le groupe OTB. L’activité principale tourne autour du prêt-à-porter féminin, des sacs et des chaussures. Les lignes de produits de style de vie comprennent des bijoux, des lunettes, des vêtements et accessoires pour homes, des vêtements pour enfants et des parfums.

En 2014, la montre Ralph Lauren 867 Diamond est réinterprétée avec un bracelet couvert de diamants. Caractérisée par son architecture exquise en style arabesque et par son abondance de pierres précieuses, cette œuvre d’art horloger scintille sous un océan de plus de 400 diamants. Logé dans un boîtier en or blanc 18 carats, entièrement serti de diamants, le calibre RL430 guide deux aiguilles style Breguet autour d’un cadran laqué blanc qui allie astucieusement des chiffres romains et arabes, formant une géométrie fascinante. Le bracelet et la boucle, en or blanc 18 carats et pavés de diamants, complètent le chef d’œuvre sculptural de haute horlogerie. Reflétant la beauté extérieure de la montre avec une sublime méticulosité, le mouvement est décoré par un effet Côtes de Genève et perlage.  

En 2014, la montre Ralph Lauren 867 Diamond est réinterprétée avec un bracelet couvert de diamants.
Caractérisée par son architecture exquise en style arabesque et par son abondance de pierres précieuses, cette œuvre d’art horloger scintille sous un océan de plus de 400 diamants.
Logé dans un boîtier en or blanc 18 carats, entièrement serti de diamants, le calibre RL430 guide deux aiguilles style Breguet autour d’un cadran laqué blanc qui allie astucieusement des chiffres romains et arabes, formant une géométrie fascinante. Le bracelet et la boucle, en or blanc 18 carats et pavés de diamants, complètent le chef d’œuvre sculptural de haute horlogerie.
Reflétant la beauté extérieure de la montre avec une sublime méticulosité, le mouvement est décoré par un effet Côtes de Genève et perlage.

Les Etoiles du XXIe siècle OBJETS VIVANTS D’EXCEPTION  12 solistes issus des plus grandes Maisons de Danse du monde incarneront des « Objets vivants d’exception » les 12 & 13 septembre 2014 au Théâtre des Champs-Elysées. La Danse est depuis la création du Théâtre des Champs-Elysées et du Sacre du printemps de Stravinsky chorégraphié par Nijinski en 1913 étroitement liée à la vitalité artistique de ce lieu unique à Paris. Danse classique et  contemporaine, danse Flamenca et Tango : le plateau du Théâtre se veut être le passeur de l’excellence des différents styles chorégraphiques existants. Quoi de plus exceptionnel que de voir évoluer, pendant ces deux soirées, dans un écrin unique qu’est le Théâtre des Champs-Elysées, des interprètes tels que Olga Smirnova et Semyon Chudin du Ballet du Théâtre Bolchoï de Moscou, Lucia Lacarra et Marlon Dino du Ballet de l'Opéra de Munich, Ashley Bouder et Amar Ramasar du New York City Ballet, Ekaterina Kondaurova et Timur Askerov du Théâtre Mariinksi de Saint-Pétersbourg, Isabella Boylston et James Whiteside de l’American Ballet Theatre, Manu Navarro et Gian Carlo Perez Alvarez du Ballet Natioanbl de Cuba & Erwan Leroux et  Aurélien Houette de l’Opéra de Paris !

Les Etoiles du XXIe siècle OBJETS VIVANTS D’EXCEPTION
12 solistes issus des plus grandes Maisons de Danse du monde incarneront des « Objets vivants d’exception » les 12 & 13 septembre 2014 au Théâtre des Champs-Elysées.
La Danse est depuis la création du Théâtre des Champs-Elysées et du Sacre du printemps de Stravinsky chorégraphié par Nijinski en 1913 étroitement liée à la vitalité artistique de ce lieu unique à Paris. Danse classique et contemporaine, danse Flamenca et Tango : le plateau du Théâtre se veut être le passeur de l’excellence des différents styles chorégraphiques existants.
Quoi de plus exceptionnel que de voir évoluer, pendant ces deux soirées, dans un écrin unique qu’est le Théâtre des Champs-Elysées, des interprètes tels que Olga Smirnova et Semyon Chudin du Ballet du Théâtre Bolchoï de Moscou, Lucia Lacarra et Marlon Dino du Ballet de l’Opéra de Munich, Ashley Bouder et Amar Ramasar du New York City Ballet, Ekaterina Kondaurova et Timur Askerov du Théâtre Mariinksi de Saint-Pétersbourg, Isabella Boylston et James Whiteside de l’American Ballet Theatre, Manu Navarro et Gian Carlo Perez Alvarez du Ballet Natioanbl de Cuba & Erwan Leroux et Aurélien Houette de l’Opéra de Paris !

De véritables œuvres d'art : Formes, Matières, Couleurs et Volumes.  « Max Mara Atelier » est un projet spécial s'articulant autour du cœur de l'univers Max Mara:   le Manteau. Cet hiver, la collection est luxueuse,  l’allure simplement sophistiquée, glamour, intemporelle. Pour la "Promenade pour un Objet d'Exception" nous avons choisi le manteau-cape en pur cachemire.  Créé avec la technique traditionnelle  du "double-face", les couleurs contrastent : rouge et fuchsia.  Ces pièces d'exception illustrent la polyvalence de la femme contemporaine : Elégance / Femme d'affaire  -  Urbaine / Voyageuse - Jour / Nuit

De véritables œuvres d’art : Formes, Matières, Couleurs et Volumes. 
« Max Mara Atelier » est un projet spécial s’articulant autour du cœur de l’univers Max Mara:  
le Manteau.
Cet hiver, la collection est luxueuse,  l’allure simplement sophistiquée, glamour, intemporelle.
Pour la « Promenade pour un Objet d’Exception » nous avons choisi le manteau-cape en pur cachemire. 
Créé avec la technique traditionnelle  du « double-face », les couleurs contrastent : rouge et fuchsia. 
Ces pièces d’exception illustrent la polyvalence de la femme contemporaine : Elégance / Femme d’affaire  –  Urbaine / Voyageuse – Jour / Nuit

Fondée en 1978, Gianni Versace S.p.A est une des marques de mode leader à travers le monde. Sous la direction artistique de Donatella Versace depuis 1997, Versace dessine, fabrique, distribue et vend des produits mode et lifestyle incluant : haute couture, prêt-à-porter féminin et masculin, joaillerie, montres, accessoires, parfums et meubles. www.versace.com  Versace a choisi de mettre en avant le sac Signature, parfaite représentation de l'ADN de la Maison, au sein de sa boutique située avenue Montaigne. Cette célèbre avenue est le coeur de la mode de luxe à Paris, l'endroit parfait pour exprimer l'esprit de Versace.

Fondée en 1978, Gianni Versace S.p.A est une des marques de mode leader à travers le monde. Sous la direction artistique de Donatella Versace depuis 1997, Versace dessine, fabrique, distribue et vend des produits mode et lifestyle incluant : haute couture, prêt-à-porter féminin et masculin, joaillerie, montres, accessoires, parfums et meubles.
www.versace.com
Versace a choisi de mettre en avant le sac Signature, parfaite représentation de l’ADN de la Maison, au sein de sa boutique située avenue Montaigne. Cette célèbre avenue est le coeur de la mode de luxe à Paris, l’endroit parfait pour exprimer l’esprit de Versace.

Objet d’Exception : “Quatre Saisons” (“Four Seasons”)  by Janine Janet, 1979 NINA RICCI is pleased to present four original medallions representing the four seasons, an ensemble created in 1979 by the artist Janine Janet.  Robert Ricci, who co-founded the house of Nina Ricci with his mother, was a great admirer of Janet, a sculptor, decorator and painter, and he entrusted her with renovating the image of the couture house when it opened its newest boutique on the Avenue George V.  During her childhood on the island of Réunion, Janet developed a baroque aesthetic and a taste for nature and found materials such as bark and plants, which are extraordinarily magnified in this collection of four oval medallions with resin inclusions depicting feminine profiles coiffed with flowers, illustrating by turns Spring, Summer, Autumn and Winter.  The reigning queen of metamorphosis, the artist mastered the techniques of plastic art with this Surrealist collection in plaster and inclusions of organic matter that deftly mixes the animal, vegetable and mineral kingdoms; thanks to this technique, the artist’s work offers an original vision of luxury with a dreamlike, phantasmagorical lightness. After decorating the charming and elegant Nina Ricci boutique on the corner of the Avenues George V and Pierre 1er de Serbie, this four-season ensemble graced the entrance hall of 17 Rue François 1er when the new headquarters moved to the heart of the Golden Triangle; it remained there until 1997.  In tribute to the Promenade for an Exceptional Object on the Avenue Montaigne, the House of Nina Ricci will unveil four accessories specially created for the occasion and directly inspired by the Quatre Saisons ensemble – a creative tie between past and present.    Technical specifications of each medallion:  Description:	decorative object					      Dimensions:	 36 x 52 x 8 cm						           Composition: resin incorporating organic materials

Objet d’Exception : “Quatre Saisons” (“Four Seasons”) by Janine Janet, 1979
NINA RICCI is pleased to present four original medallions representing the four seasons, an ensemble created in 1979 by the artist Janine Janet.
Robert Ricci, who co-founded the house of Nina Ricci with his mother, was a great admirer of Janet, a sculptor, decorator and painter, and he entrusted her with renovating the image of the couture house when it opened its newest boutique on the Avenue George V.
During her childhood on the island of Réunion, Janet developed a baroque aesthetic and a taste for nature and found materials such as bark and plants, which are extraordinarily magnified in this collection of four oval medallions with resin inclusions depicting feminine profiles coiffed with flowers, illustrating by turns Spring, Summer, Autumn and Winter.
The reigning queen of metamorphosis, the artist mastered the techniques of plastic art with this Surrealist collection in plaster and inclusions of organic matter that deftly mixes the animal, vegetable and mineral kingdoms; thanks to this technique, the artist’s work offers an original vision of luxury with a dreamlike, phantasmagorical lightness.
After decorating the charming and elegant Nina Ricci boutique on the corner of the Avenues George V and Pierre 1er de Serbie, this four-season ensemble graced the entrance hall of 17 Rue François 1er when the new headquarters moved to the heart of the Golden Triangle; it remained there until 1997.
In tribute to the Promenade for an Exceptional Object on the Avenue Montaigne, the House of Nina Ricci will unveil four accessories specially created for the occasion and directly inspired by the Quatre Saisons ensemble – a creative tie between past and present.
Technical specifications of each medallion:
Description: decorative object
Dimensions: 36 x 52 x 8 cm
Composition: resin incorporating organic materials

Yves Salomon, fourreur parisien depuis quatre générations, est depuis près d’un siècle connu comme « la » maison de référence pour la qualité et la diversité de ses fourrures. Soucieux de perpétuer ce savoir-faire traditionnel inégalable, Yves Salomon n’a de cesse de conjuguer prouesses techniques à l’utilisation de ses peaux rares. C’est pourquoi en 2014, il accepte de mettre les compétences de son atelier au service d’un projet artistique original, « Diagnostic », créé et développé par les designers Deborah et Priscilla Royer. Diagnostic est une installation personnelle présentée au Palais de Tokyo en février 2014. Questionnement sur le vêtement et l’accélération anarchique de son industrie, la présentation met en scène une expérience hybride, entre mode et art, construite autour de prototypes couture uniques. L’une de ces pièces est un manteau en fourrures et serpent assemblés en alternance, aujourd’hui mis à disposition pour la promenade « Objet d’exception ». Polymorphe par nature, ce manteau combine les peaux les plus luxueuses aux prérogatives des tenues de sport. Baptisé « Scyzophrenia » par ses créatrices, ce design d’exception existe uniquement en un seul exemplaire noir (peaux de vison, ondatra, marmotte et serpent) et un seul exemplaire blanc (peaux de vison, renard, lapin et serpent). Il ne fera l’objet d’aucun type de reproduction industriel. Manteau «

Yves Salomon, fourreur parisien depuis quatre générations, est depuis près d’un siècle connu comme
« la » maison de référence pour la qualité et la diversité de ses fourrures. Soucieux de perpétuer ce
savoir-faire traditionnel inégalable, Yves Salomon n’a de cesse de conjuguer prouesses techniques à
l’utilisation de ses peaux rares.
C’est pourquoi en 2014, il accepte de mettre les compétences de son atelier au service d’un projet
artistique original, « Diagnostic », créé et développé par les designers Deborah et Priscilla Royer.
Diagnostic est une installation personnelle présentée au Palais de Tokyo en février 2014.
Questionnement sur le vêtement et l’accélération anarchique de son industrie, la présentation met en
scène une expérience hybride, entre mode et art, construite autour de prototypes couture uniques.
L’une de ces pièces est un manteau en fourrures et serpent assemblés en alternance, aujourd’hui mis à
disposition pour la promenade « Objet d’exception ».
Polymorphe par nature, ce manteau combine les peaux les plus luxueuses aux prérogatives des tenues
de sport. Baptisé « Scyzophrenia » par ses créatrices, ce design d’exception existe uniquement en un
seul exemplaire noir (peaux de vison, ondatra, marmotte et serpent) et un seul exemplaire blanc (peaux
de vison, renard, lapin et serpent). Il ne fera l’objet d’aucun type de reproduction industriel.
Manteau «

Ce quartier si particulier devient pour quelques jours une des galeries les plus prisées de la capitale.
 
Voici quelques marques qui présenteront des oeuvres uniques pour l’occasion :
Balenciaga Paris George V – Barbara Bui – Bulgari – Cartier – Chanel Joaillerie – Chanel Mode – Chaumet – Christian Dior – Fouquet – Giorgio Armani Donna – Giorgio Armani Uomo – Givenchy – Hôtel Plaza Athénée – Jimmy Choo – Lamborghini – Loewe – Louis Vuitton – Maison Blanche – Marni – Max Mara – Nina Ricci – Ralph Lauren – Salvatore Ferragamo – Théâtre des Champs-Elysées – Versace – Yves Salomon – Zadig & Voltaire

Pour découvrir et faire vivre l’événement :

#ArtMontaigne

facebook.com/comitemontaigne

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