La couture d’Elie Saab nous avait déjà embarqué en janvier dernier au cœur de la nature, c’est de nouveau le cas pour son prêt à porter. Même si les premiers modèles ont des allures d’officiers avec une proposition de multiples tailleurs avec boutons d’or et grands manteaux en tweed. En regardant plus en détails, on se rend compte des nervures sur les épaules et les manches créant des effets de branches et les différentes tonalités de vert rappelant les forêts. Suivent ensuite des robes aux tonalités plus chaudes comportant comme des coups de peinture. La nature est en fleurs. Les fourreaux deviennent plus volumineux, les crêpes et macramés se perforent comme des ruchés, les broderies envahissent quelques modèles. Le noir et le rouge deviennent fatales sur la fin du défilé avec jeux de drapés et de dentelles. A noter : les multiples combinaisons toujours aussi élégantes et cette robe en cuir rouge avec zip doré sur le côté tellement sensuelle.
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